• La pizza Margherita ?

    Depuis le 18ème siècle, les Napolitains raffolent de la pizza, une simple pâte cuite, à l'huile d'olive et à l'ail. Mais ce plat populaire a aussi une amatrice de choix : Magherita de Savoie, reine d'Italie. En 1899, en villégiature à Capodimonte, elle convoque un pizzaïolo de la ville pour qu'il lui concocte sa spécialité. C'est l'heure de gloire du cuisinier ! Soucieux de rendre hommage à sa prestigieuse cliente, il introduit pour la première fois de la sauce tomate dans la pizza et invente une recette aux couleurs du drapeau italien : vert (basilic), blanc (mozzarella) et rouge (tomate). Un choix loin d'être anodin : après des décennies de guerre, l'Italie n'a achevé son unification qu'en 1870. Cette pizza baptisée "Margherita" est donc très politique.


  • Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
    Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
    Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…

    Du très grand Tarentino, j'ai vraiment adoré.

     


  • Il y quelques jours nous sommes allés chez nos amis Carole et Olivier sur le nouveau de port à Pornic. Avant c'était le Gecko un snack-pizzeria et maintenant après quelques travaux et changement de la carte, vous êtes dans un nouvel endroit, c'est devenu un restaurant-pizzeria. On vous proposera quelques entrées, poissons et viandes (d'origine française) et un menu avec entrée, plat et dessert à 13,50 € ou entrée, plat ou plat et dessert à 12 €, un excellent rapport qualité-prix, sans oublier les pizzas.

    Nous avons pris de la viande, JP a pris une entrecôte beurre maître d'hôtel et pour moi j'ai pris un onglet sauce roquefort avec tagliatelles et salade verte. La viande était vraiment délicieuse tendre à souhait.

    Côte et Plaisance

     

    Côte et Plaisance

     

    Vous allez me dire, ce sont des amis, il ne va pas dire que ce n'était pas bon, vous vous trompez lourdement, je dis toujours ce que je pense !!!!

    Alors Carole et Olivier "MERDE" et que cela vous porte bonheur. 

    Si vous ne savez pas pourquoi on dit merde pour favoriser la chance, je vous rappelle que j'ai déjà fait un article sur ce sujet, alors à vous de le chercher !!!!!


  • Agua Azul

     

    Souvenirs de vacances

    Souvenirs de vacances

    Souvenirs de vacances

     

    Souvenirs de vacances

     

    Agua azul signifie en espagnol "eau bleue". La réserve spéciale de la biosphère : "Cascadas de Agua Azul", au sud du Mexique, est une aire protégée reconnue internationnalement.

    Les cascades se forment grâce aux affluents des rivières Otulùm, Shumuljà et Tulijà, qui serpentent dans de petits canyons peu profonds entre des falaises. C'est le lit calcaire de la rivière Yax-hà qui est à l'origine de la couleur turquoise de l'eau des cascades ainsi qu'à la dissolution de particules contenant des sels de magnésium et autres chlorure.

    La rivière se trouve au nord de l'Etat des Chiapas, dans la commune de Tumbalà à 64 kilomètres de Palenque.

    Un endroit magique, paysage grandiose dans une forêt tropicale, on peut en profiter en faisant des balades le long de la rivière et, également en prenant un bain les piscines naturelles.


  • Profanation de Jussi Adler-Olsen.

    Profanation

     

    Comme je vous le disais dans mon dernier article de lecture, j'avais adoré le premier tome : Miséricorde. Je me suis empressé de lire la suite : Profanation. J'ai bien moins aimé. Je voulais en savoir plus sur les deux personnages principaux, Carl Mock, et surtout son assistant Assad, qui est très énigmatique. Mais dans ce 2ème opus, je suis resté sur ma faim, car je n'ai rien appris de plus, et là ça m'a énervé un peu !!! Sinon l'intrigue, bien mais sans plus.

    Je vais commencé un nouveau bouquin : les piliers de la terre de Ken Follett. Cet été, il y a eu une diffusion sur Arte et j'ai bien aimé cet histoire. J'en ai profité pour acheter le livre. Mais il vous faudra de la patience pour avoir ma critique car c'est un "gros pavé".


  • On peut se dire au revoir plusieurs fois de David Servan-Schreiber.

     

    ON PEUT SE DIRE AU REVOIR PLUSIEURS FOIS - David SERVAN-SCHREIBER

     

    Médecin et chercheur en neurosciences, formé aux Etats-Unis, David Servan-Shreiber a créé et dirigé uncentre de médecine, intégré à l'université de Pittsburgh, où il enseigne en qualité de professeur clinique de psychiatrie. A l'âge de 31 ans, on lui découvre une tumeur au cerveau. Il vit son cancer depuis 19 ans, défiant tous les pronostics médicaux. Il est l'auteur de "Guérir" et "Anticancer".

    Dans ce livre, il fait le bilan de son long combat contre le cancer, plusieurs fois victorieux et semé de rechutes. Avec lucidité, et de façon lumineuse, il parle de la douleur, de la peur, et du courage face au mal, mais aussi de l'espoir, de la force de vivre et de ses rêves d'avenir. Ce livre a été écrit par un homme malade que la maldie atteint mais ne brise pas. Après avoir lu ce livre, il nous fait aimer la vie en regardant la moirt en face.

    F O R M I D A B L E.

    A lire absolument.


  • En dessert j'ai pris une tarte au citron meringuée revisitée. En guise de pâte, c'est un sablé Breton, le même appareil de la crème au citron, une meringue perchée sur un mikado et celui-ci planté dans une boule de noix de coco. Les petits points verts : un coulis de basilic. Le tout était divin.

    Restaurant La Villa Noë suite et fin.

     

    Jean-Pierre a pris un macaron au caramel et poire pôchée :

    Restaurant La Villa Noë suite et fin.

     

    Une excellente adresse à retenir sur Pornic, c'est ouvert tous les jours midi et soir. La salle est belle et il y a une très belle terrasse juste au bord de la plage. Alors n'hésitez pas allez y les yeux fermés et bon appétit !


  • Tout d'abord nous avons commé par un apéritif accompagné par un pôt de rillettes avec des petites tranches de pain grillé.

     

    Restaurant La Villa Noë suite.

    Ensuite, j'ai pris un wok de St Jacques et gambas sauce chili. Il y avait donc des St Jacques, des gambas, pois gourmands, choux chinois, soja, oignons rouges, carottes, poivrons, nouilles chinoises et ananas. Un vrai régal pour la vue et les papilles. A vous de juger :

    Restaurant La Villa Noë suite.

     

    Quant à Jean-Pierre il a pris une entrcôte (300gr) !!! frites, salade et une sauce Béarnaise (maison) :

    Restaurant La Villa Noë suite.

     

    Nous allons faire une pause à demain pour le dessert...

     


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    Il y a quelques jours nous sommes allés au restaurant sur la plage de la Noëveillard. Un restaurant qui a changé, et dans le très bon sens du terme. Un accueil très sympathique, un service efficace et en plus une excellente cuisine avec un très bon rapport qualité prix. Pour la deuxième photo, c'est le plafond, on apperçoit la coque d'un bateau du fond de la mer !!

    A demain, pour le repas !!!


  • L'expression "faire un bide" ?

    Avant le 19ème siècle, le mot "bidon" désigne un récipient contenant le plus souvent des liquides. L'analogie entre cet objet et un estomac rempli est vite faite : le bidon (ou le bide) en vient à désigner familièrement un ventre bien rebondi. En argot, au 19ème siècle, l'expression "ramasser un bidon" signifier d'abord "s'enfuir" ou détaler ventre à terre. "Faire un bide", n'apparaît que plus tard, au cours du 20ème siècle, dans le milieu du théâtre. La locution décrit une scène cauchemardesque pour un comédien : celui-ci se prendrait les pieds dans le décor, tomberait et quitterait la scène en rampant... sur le bide. Aujourd'hui, ces mots désignent toujours un échec, un effet raté.





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