• Il est petit, mais il n'a pas de prix. Ce diamant de quelques millimètres trouvé au Brésil par des géologues s'est avéré contenir de la rigwoodite. Sa particularité ? Elle contient de l'eau, environ 1,5% de son poids. Or les diamants se forment dans le manteau terrestre et remontent à la surface à l'occasion d'éruptions volcaniques. Pour les géologues, ce diamant est donc la preuve qu'entre 400 et 660 km sous la surface de la terre se cache de l'eau, probablement autant que dans les océans réunis !


  • Apnée noire de Claire Favan

    "Vêtue d'un pyjama en satin écru, la jeune femme repose dans une baignoire rempli, en position de foetus inversé. Ses mains et ses chevilles sont étroitement liées derrière son dos et elle flotte score avec un soupçon de grâce." A Columbia, sur la côte est des Etats-Unis, c'est la scène macabre que découvre le lieutenant Sandino. Officier intègre, c'est aussi un homme brisé depuis la disparition de sa famille. Pour mener cette enquête, il doit collaborer avec Megan Halliwell, l'agent du FBI qui a permis l'année précédente l'arrestation de Vernon Chestern un tueur psychopathe qui vient d'être exécuté. Très vite pourtant, il apparaît que ce dernier meurtre présente des ressemblances troublantes avec les crimes commis par Chester. Comment est-ce possible ? Tandis que Megan n'ose imaginer le pire, une erreur judiciaire, Sandino se concentre sur certaines incohérences. Des discordes en silences la relation des deux policiers évolue, alors que chaque jour le tueur semble se rapprocher d'eux, omniprésent et insaisissable...

    Après le tueur intime et le tueur de l'ombre, les deux derniers livres de Claire Favan, je me suis précipité sur son premier bouquin : Apnée noire. Je dois dire que je ne suis pas du tout déçu, un thriller à faire pâlir beaucoup d'auteurs, une écriture qui vous tient en haleine du début à la fin, avec une fin.... j'adore. Vivement votre prochain livre !

    ****

    *       Moyen

    **     Bon

    ***   Très bon

    **** Excellent



  • Le 14 mars dernier dans Taipei (Taïwan), 1600 pandas en papier mâché ont envahis les rues de la capitale pendant 15 jours. Un délire artistique ? Non, une opération de sensibilisation du WWF (World Wildlife Fund). 1600, c'est en effet le nombre de pandas géants encore vivants en liberté dans le monde. Une espèce en voie de disparition. Créée en 2008, cette exposition a déjà visité une vingtaine de pays, dont la France. Pour leur premier séjour en Asie, leur créateur Français, Paulo Grangeon, en a profité pour ajouter dans les rangs quelques 200 ours noirs à collier, une autre espèce en voie de d'extinction à Taïwan.

    Un pandas ça va, deux pandas...

     


  • D'ici à 2016, il n'y en aura plus une seule ! Délaissée par les utilisateurs, la cabine téléphonique suscitait pourtant l'admiration à la fin du XIXe siècle. Ce bijou de technologie est présenté pour la première fois au public à l'exposition internationale d'électricité de Paris en 1881. Les journalistes parlent de "nouveaux confessionnaux". Le premier réseau de cabines téléphoniques est installé à Reins en 1883, avant d'être étendu à paris et à d'autres villes de province l'année suivante. A l'époque, 5 minutes de communication coûtent 50 centimes, l'équivalent de 6 € aujourd'hui.


  • C'est un emprunt au film La dolce vita de Federico Fellini (1960). Marcello Mastoianni y incarne un chroniqueur mondain secondé par un amis photographe particulièrement indiscret, un certain Paparazzo. Le cinéaste et son scénariste ont indiqué avoir choisi ce nom de famille, lu dans un récit de voyage du XXe siècle, en raison de sa sonorité. Il évoque en effet le papatacci, une sorte de moustique des marécages, qui pique discrètement sa victime et transmet différentes maladies accompagnées de fièvres. La seconde partie du mot razzo, signifie fusée. Paparazzo peut donc se comprendre : "la fusée silencieuse qui rend fiévreux". Avec le succès du film, palme d'or au festival de Cannes, le patronyme est aussitôt devenu un nom commun. Mais c'est le pluriel italien de paparazzi qui s'est imposé en Français : un paparazzi.


  • Avant la tondeuse, s'occuper de la pelouse de son jardin est une vraie galère. En 1709, dans la théorie et la pratique du jardinage, le naturaliste Français Antoine Joseph Dezallier d'Argenville donne le conseil suivant pour l'entretien de son gazon : "le faucher très souvent et le battre quand il est trop haut, en y roulant dessus de gros cylindres ou rouleaux en pierre." Pour avoir une vraie tondeuse, il faut attendre 1830 et l'intuition géniale d'Edwin Budding. Cet ingénieur Anglais de la région de Gloucester conçoit et répare les machines d'une usine de textile. Il remarque un engin utilisé pour raser les fibres de velours. Fibres qui lui rappellent... les mauvaises herbes de son jardin. Voici enfin un moyen rapide de s'en débarrasser ! Il adapte cet appareil composé de lames montées sur un cylindre pour en faire le premier Lawn mower. La tondeuse à gazon mécanique est née.


  • Ce plat est vraiment délicieux, surtout s'il est préparé la veille. Simple à préparer (comme toutes mes recettes !) il suffit de le slaviser cuire quelques heures en remuant de temps en temps, quand même !! La Carbonade Flamande est généralement servie avec des frites, mais ce jour là nous avons fait une bonne purée maison, mais libre à vous de faire ce que vous voulez !!!

    Pour 5 personnes il vous faudra :

    1 kg de bourguignon, 2 oignons, 75 cl de bière, 1 cuillère à soupe de farine, 4 tranches de pain d'épices, de la moutarde, du sel, du poivre et un peu de beurre.

    Je n'aime ni la bière ni le pain d'épices, mais là, il y a une alchimie qui se produit, car c'est un régal !

    Une petite vidéo pour plus d'explication :


  • C'est vraiment "la classe" cette affiche pour le festival de cette année, Marcello Mastrioianni, le top !

     


  • Dans une chambre d'hôpital, une jeune femme se réveille péniblement. Elle ne sait ni qui elle est, ni pourquoi son corps la fait autant souffrir : sa mémoire est comme effacée. A son chevet, Karter, son compagnon, effondré, lui apprend qu'on l'a agressée, puis violée. Dès sa sortie, Emma, assaillie par des flashs terrifiants, tente de reconstituer le puzzle de sa vie. Bribe par bribe, les souvenirs ressurgissent, sans apporter compréhension ni réconfort. Emma croise des personnages de plus en plus inquiétants et la mort semble peu à peu tout recouvrir autour d'elle...

    Son deuxième roman "Reflex" m'a énormément envouté, ce n'est pas le cas de celui-ci, c'est un bon petit thriller, mais à la centième page je me doutais du dénouement de l'intrigue, et ça, ça été décevant. Dommage.

    éé

    é    Moyen

    éé   Bon

    ééé  Très bon

    éééé  Excellent





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