Pour faire ce gâteau il vous faudra 4 oeufs :

1 yahourt :

2 pôts de sucre :

4 pôts de farine, 1 sachet de levure, 1 pôt d'huile :

Mélangez le tout :

Regardez ces belles pommes, cueillies directement sur l'arbre. Allez à la pluche !!

Vous mettez autant de pommes que vous voulez, moi j'aime quand il y a beaucoup de fruits, à noter que vous pouvez mettre ce que vous voulez en fruit :

Four chaud à 180°C pendant 30 minutes, mais vérifiez la cuisson en piquant avec la lame du couteau, si cela ressort sans rien sur la lame et bien c'est cuit !!

J'ai oublié de vous dire je rajoute un peu de calvados à ma pâte, je trouve que cela un très bon goût au gâteau, bon appétit.

Bonjour à tous,

Un petit peu de nouvel de ma santé, il y a une semaine j'ai eu les résultats, une bonne nouvelle le sang dans les urines est tout à fait correct, par contre les globules blancs ne sont toujours pas dans la limité acceptable. Il y a du mieux et j'en suis très content et soulagé. Et puis hier je faisais ma fibroscopie et là RAS, donc je suis doublement content, la prochaîne sera pour le 3 septembre, je peux souffler !!! Pour le reflux, mon chirurgien va consulter ses confrères et il me recontera pour définir l'opération à venir.

Bisous à tous et à demain.

Bruno.

 Par un bel après-midi ensoleillé, en me baladant dans les rues de Nantes, j'ai entendu de la musique et j'ai trouvé une fanfare, celle de l'école d'architecture de Nantes. J'ai passé un bon moment, trop court, je vous laisse écouter un petit bout, vous verez il y a une qui se lache, et un gars qui pousse un fauteuil roulant en dansant :

Je viens de tomber sur un article d'une critique de cinéma sur le film de Cloud Atlas de Lana et Andy Wachowski et Tom Tykwer (3 réalisateurs !) avec Tom Hanks et Halle Berry.

Cela parle de l'entrecroisement des destins d'une dizaine de personnes dont les actes se répondent d'une vie à l'autre. Avec, en fil rouge, la quête de la liberté, l'amour et le rachat des fautes. Un excellent film, j'ai adoré la poésie qu'y si dégage. Attention, un film qui ne plaira pas à tout le monde !

Cloud Atlas

Eben Alexander, neurochirugien Américain, a vécu, bien malgré lui, en 2008 une expérience de mort imminente (EMI), un récit controversé, particulièrement bien placé pour aborder un tel sujet, a décidé de raconter dans un livre.

"Preuve du paradis : le voyage d'un neurochirugien dans la vie après la mort" a été publié le 23/10/2012 aux Etats-Unis. Le livre a provoqué de nombreuses réactions.

L'aventure de ce père de 2 enfants a commencé avec un simple mal de tete en nombre 2008. Puis la méningite bactérienne qu'il a contracté l'a rapidement plongé dans le coma pendant une semaine. Dans le même temps M. Alexander a "voyagé dans une autre dimension de l'univers, une dimension dont il n'aurait jamais rêvé qu'elle existait".

Selon les estimations, environ 3 % des Américains, soit plus de 9 millions de personnes ont un jourr vécu une EMI. "Il y a plus d'une dizaine de milliers de témoignages du même genre chaque année, souligne Paul Perry, co-auteur de plusieurs best-sellers sur le sujet. Ces expériences peuvent être un aperçu de la suite de notre miraculeuse aventure. Malheureusement, trop peu d'études significatives ont été menées sur le sujet".

Dean Mobbs, psychologue à l'université de Columbia qui étudie la neurobiologie et la peur chez les humains, ne nie pas que M. Alexander ait vécu une telle expérience, mais elle a selon lui une explication rationnelle. "Il n'y a pas de paranormal, affirme M. Mobbs, selon qui, les expérieces de mort imminente sont la manifestation de dysfonctionnements du cerveau dans certaines circonstances. "Notre cerveau peut fabriquer des expériences intenses, notamment dans des situations de confusion ou de traumatisme. Il essaie de réinterpréter le monde de ce qui l'entoure". déclare t-il rappelant une étude Suisse où des expériences de dédoublement avaient été recréées en stimulant une certaine partie du cerveau.

Dean Mobbs a également notéque le corps humain peut difuser d'important doses d'opioïdes quand il fait face à un danger extrême. Ces opioïdes génèreront une sensation d'euphorie semblable à celle décrite dans des EMI.

Enfin, M. Mobbs rappelle que les personnes ayant vécu des EMI, n'ont jamais en réalité été proches de la mort. D'ailleurs, conclut-il, la majorité des personnes qui sont brièvement cliniquement mortes avant de "ressusciter" affirment ne se souvenir de rien.

Article paru dans Le Monde le 14/10/2012.

Témoignage. Ancienne directrice commerciale, Nicole Canivenq raconte l'EMI qu'elle a vécue lors d'un accident de voiture en 2003.

Elle était seule sur la route, roulait doucement. 10 ans après Nicole ne comprend toujours pas ce qui a bien pu l'envoyer dans un arbre le 6 mai 2003. "Je rentrais d'un rendez-vous professionnel, raconte-t-elle. J'ai perdu le contrôle de ma voiture. Mais je ne me souviens de rien en ce qui concerne l'accident". En revanche, elle se rappelle très bien l'EMI de 3, 4 minutes qu'elle a vécue avant qu'un pompier ne vienne la sauver dans la carcasse de sa voiture.

"Je me suis rendu compte que je n'avais pas de corps".

"C'était très bizarre. Je me suis retrouvée dans un autre espace. Le ciel était en bas. L'herbe de la prairie en haut. J'ai essayé de bouger. Et c'est là que je me suis rendu compte que je n'avais pas de corps. Je n'étais qu'une espèce de conscience. Mais je me suis tout de suite acclimatée à ce nouvel espace", témoigne-t-elle. Quelque part dans les limbes, celle qui est, à l'époque, directrice commerciale, s'aperçoit alors que l'herbe est animée d'une conscience, bouge et l'attire...

"C'était quelque chose de très joyeux"

"C'est à ce moment là que des êtres de lumières sont apparus. Je ne les connaissais pas. Il y en avais 6 petits et 6 plus grands comme des adultes avec leurs enfants. Ils avaient une forme humaine mais étaient une sorte de mumière blanche". A ce moment-là, ces "êtres" ont commé à glisser vers elle. "'ai senti un amour extraordinaire de leur part. Il y avait des rires d'enfants. C'était comme quelque chose de très joyeux".

Désincacérée de sa voiture.

Nous n'en saurons pas plus sur l'EMI de Nicole. Au moment où elle s'apprêtait à toucher ces "êtres de lumière", la femme de 35 ans s'est réveillée. "Je me suis retrouvée dans une voiture. Un pompier me tenait la main et il me disait d'ouvrir les yeux. D'un seul coup, j'aieu mal partout. Il faut dire que j'ai subi de multiples fractures et qu'il a fallu me désincarcérée de ma voiture".

Complètement transformée.

Pendant longtemps, Nicole a évité de parler de cette aventure. De peurd'êtree incomprise. D'être prise pour une illuminée. "Finalement, j'en ai parlé à ma mère". Elle m'a dit "qu'est ce que c'est que ce charabia ?" Pour autant, Nicole a été complètement transformée par ces trois, quatre minutes venues d'ailleurs. "J'étais très catésienne dans mon métier. J'ai commencé par tout plaquer pour devenir sophrologue. Et puis je me suis intéressée au chamanisme. J'ai voyagé beaucoup, rencontré des chamanes. Et aujourd'hui, je vis pleinement ma vie car je n'ai plus aucune peur de la mort".

Propos recueillis par Vincent Vautighem pour le journal 20 minutes.

Pendant 3 jours, je vais vous sembiliser sur les EMI, j'ai fait des recherches et j'ai trouvé 3 articles très intéressant. A vous de vous faire une opinion sur le sujet.

Plusieurs médcins s'intéressent aux expériences vécues par des patients qui ont frôlé la mort avant que leur coeur ne reparte...

Il y a ceux qui ont u une lueur blanche. Ceux qui ont emprunté un long tunnel. Et même ceux qui ont rencontré "des petits êtres de lumières". Déclarés "mortes" cliniquement, toutes ces personnes affirment avoir vécu une expérience singulière de quelques secondes ou minutes avant que leur coeur ne reparte. Leurs témoignages seront donc logiquement au centre des débats, à l'occasion des rencontres internationales sur les EMI à Marseille. La réalisatrice du documentaire "faux départ" sur ce sujet, Sonia Barkallah est en effet parvenue à faire venir une kyrielle de spécialistes de la question dans la cité phocéenne. "On a passé le cap des railleries, les EMI intéressent de plus en plus les professionnels de la santé car ils srendent compte que cela peut les servir dans leur quotidien".

5% de la population a vécu une expérience de mort imminente.

Quasi ésotérique, la question d'une vie après la mort commence en effet à trouver des débouchés, le psychologue Eric Dudoit, qui travaille au service d'oncologie à l'hôpital de la Timone à Marseille, n'hésite plus à diffuser le documentaire de Sonia Barkallah à ses patients en fin de vie. "On sait que 5% de la population environ a vécu une expérience de mort imminente avant de revenir, explique la réalisatrice. Dans la plupart des cas, cela leur a procuré un mieux-être et les a rassurés par rapport à l'idée de la mort. Cela peut onc faire du bien aux patients qui s'apprêtent à trépasser..."

Sensation de flotter au-dessus du corps.

Ancien chef du service de réanimation à l'hôpital de Sarlat en Dordogne, Jean-Pierre Postel n'occulte pas l'opposition logique de la plupart des neurologues, mais préfère retenir que la "communauté scientifique est dans son ensemble de moins en moins hostile à notre travail". Car, avec le temps, les médecins ont tenté d'en savoir plus sur le principe de "décorporation" qui prétendent vivre la plupart des "expérienceurs". Dans la majorité des cas, les gens qui vivent une EMI, racontent qu'ils flottent au-dessus de leurs corps, explique ainsi Jean-Pierre Postel qui s'apprête àcréer a première consultation spécialisée dans le traitement des EMI à Bordeaux en Gironde.

Un message caché dans un paquet cadeau.

Le seul problème, c'est que dans les EMI sont très difficles à modéliser du point de vue scientifique, les rares protocoles d'études ayant vu le jour à ce propos se sont, pour l'instant, soldés par des échecs. "Nous avons monté une étude à Sarlat, raconte encore Jean-Pierre Postel. Dans la salle de réanimation, nos aions caché un message dans un paquetcadeau. Le but était que le patient en EMI parvienne à lire le message et à le retranscrire une fois ressuscité". L'étude a duré trois ans. Cinq patients ont vécu une EMI. Deux ont assuré être "sortis de leur enveloppe corporelle", "mais aucun n'est parvenu à lire le message caché" se désole le praticien.

(Article rédigé par Vincent Vantighem pour le journal 20 minutes)

Le Jardin Majorelle à Marrakech est l’un des endroits les plus visités du Maroc. Il a fallu quarante ans au peintre français Jacques Majorelle (1886-1962) pour créer, avec passion, ce lieu enchanteur, aujourd’hui au cœur de la ville rouge.

Dans ses allées ombragées, on y déambule au milieu d’arbres et de plantes exotiques dont l’origine fait rêver, on y longe des chemins d’eau au murmure rafraîchissant et des bassins emplis de nénuphars et de lotus ; on y entend dans l’air aux fragrances ici et là sucrées le bruissement des feuilles et le pépiement des nombreux oiseaux venus s’y refugier, on s’y arrête, au détour d’un chemin, devant un bâtiment au charme mauresque ou au style Art Déco, étonnamment peint de couleurs primaires très vives dominées par le bleu intense vu dans l’Atlas par l’artiste. On y est apaisé et ensorcelé par l’harmonie de ce tableau luxuriant et vivant où les sens sont délicatement sollicités pour offrir une promenade magique, hors de la ville animée pourtant si proche, dans l’enceinte protégée par les hauts murs de terre, hors du temps.

Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le jardin Majorelle en 1966. C'est en 1980 qu'ils achètent ce jardin, ils décident d'habiter la villa dans le jardin et entreprennent d'important travaux de restauration du jardin pour : "faire du jardin Majorelle le plus beau jardin, celui que Jacques Majorelle avait pensé, envisagé. Yves Saint Laurent décédé le 1er Juin 2008, ses cendres ont été dispersées dans la roseraie de la villa et un mémorial a été construit, les visiteurs peuvent se souvenir de lui et de son oeuvre.

La petite Nathalie, 7 ans, est dans le jardin entrain de remplir un trou. Lorsque le voisin l'aperçoit par dessus la clôture.

- Que fais-tu là Nathalie ?

Elle lui répond, sans lever la tête, que son poisson d'aquarium est mort et qu'elle l'enterre.

Le voisin quelque peu curieux lui dit :

- c'est un très gros trou pour un petit poisson, ne crois-tu pas ?

A ce moment, Nathalie termine la dernière pelletée en la tapant délicatement et lui répond :

- C'est parce qu'il est à l'intérieur de ton chat !!!

 Il y a quelques jours, j'ai fait le garde d'enfants !!! Lilou et Malo, fidèlent depuis qu'ils sont bébés, nous avons une très belle journée ensemble, à jouer, à raconter des histoires et nous avons testé un atelier culinaire. Ils ont fabriqué, de leurs petites mains des petits chaussons aux pommes.

Tout d'abord ils ont découpé, avec un emporte pièce, des petits ronds de pâte feuilletée :

 Des ptits trous, des ptits trous... toujours des ptits trous...

 Une petite cuillère de compôte de pommes, un petit pliage et c'est fini :

 Et hop, directement au four et à nous la dégustation !!! miam, miam.

 Début d'après midi, Malo va faire la sieste, il ne sera pas tout seul, nounours va l'accompagner !!!

A bientôt de vous ravoir à la maison, bisous.