• Les 12 finalistes du concours du « meilleur photographe animalier de l'année » ont été dévoilées, et leurs photos sont vraiment de toute beauté

    1. Trésor Arctique — Sergey Gorshkov, Russie

     


  • La décision a été annoncée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) : le léopard des neiges perd son statut d’espèce « en voie de disparition », attribué en 1986.

    Pour que son statut ait évolué, il a fallu que le léopard des neiges soit observé et sa condition évaluée par 5 experts internationaux. L’un d’eux, le docteur Tom McCarthy, explique que « pour être considéré comme "en voie de disparition", il doit y avoir un taux de déclin élevé de l’espèce (20 % sur 2 générations) et rester moins de 2 500 léopards des neiges adultes ».

    Malgré le fait que ces deux critères soient devenus improbables, McCarthy nous met tout de même en garde : le léopard des neiges n'est pas encore tiré d'affaire, et il ne faut pas lâcher de leste.

    L’espèce reste fragile, même si son déclin ralentit.

    Maintenant classée comme « vulnérable », l’espèce doit compter moins de 10 000 animaux reproducteurs et conserve un déclin d’au moins 10 % de sa population sur 3 générations.

    De plus, le grand chat des montagnes reste toujours menacé par la destruction de son habitat et par le braconnage.

    Des associations de protection du léopard blanc, craignant que cela ne lui cause du tort, contestent la décision de lui avoir changé son statut de conservation.

    C’est le cas du Snow Léopard Trust, qui croit en de graves conséquences pour l’espèce. Le léopard est d’ailleurs toujours placé dans la Liste Rouge des espèces fragiles.

    Même s’il est rarement visible, l’animal solitaire est camouflé dans son pelage ivoire, se cache dans des grands espaces des sommets de l’Asie Centrale et de la Russie, dont beaucoup sont protégés.


  • De prime abord, l’Allemagne, n’est pas forcément la première destination à laquelle on pense quand il s’agit de découvrir des paysages et un patrimoine culturel riche. Et pourtant, dans le centre du pays, la région de Thuringe abrite plusieurs lieux d’exception, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Aujourd’hui, Jetlag dresse pour vous la liste de ces endroits particulièrement méconnus. De quoi satisfaire la curiosité de celles et ceux à la recherche de nouvelles destinations à découvrir. En mettant les voiles vers cette région, les voyageurs ont la garantie d’en prendre plein les yeux, mais également d’éviter le tourisme de masse.

    Voici les quatre lieux à visiter absolument :

    1. Le parc national de Hainich

    Créé le 31 décembre 1997, le parc a pour principal objectif la protection des forêts anciennes de hêtres et, depuis le 25 juillet 2011, il est inscrit à ce titre sur la liste du patrimoine mondial. Il s’agit de la plus grande forêt mixte de feuillus d'un seul tenant en Europe.

     

    2. Le château de la Wartbourg

    Le sublime édifice trône au-dessus de la ville d’Eisenach. Classé en 1999 au patrimoine mondial de l’UNESCO, il constitue l’une des forteresses médiévales les mieux conservées d’Allemagne et raconte près de mille ans d’histoire.

     

    3. Le Weimar classique

    S'il n'a duré qu'une cinquantaine d'années, le Classicisme de Weimar est l'une des plus grandes époques de l'histoire des idées en Europe. Goethe, Schiller (dont les maisons sont d'ailleurs visitables dans la région) Nietzsche, Bach ou encore Liszt, les grands noms sont légion dans ce lieu. La bibliothèque de la duchesse Anna Amalia, en photo ci-dessous, est également ouverte au public.

    4. Le Bauhaus

    C’est l’école d’art et d’architecture la plus réputée du pays, et l’une des plus connue du monde. Son programme a suscité l'adhésion d'un grand nombre d'artistes d'avant-garde de toute l'Europe, parmi lesquels on peut citer Johannes Itten, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Oskar Schlemmer, László Moholy-Nagy ou Marcel Breuer. Fondée en 1919, l'université est encore ouverte.

     

     


  • FLORIDE : Randy Lathrop, photographe et amateur d’Histoire régionale, raconte qu’il était en train de remonter la lagune d'indian river un peu plus tôt dans la semaine, lorsqu’il est tombé nez à nez avec un bout de bois inhabituel. Selon ses dires à ABC News, au moment même où il a vu l'objet, il a compris ce que c'était.

    Devant lui gisait un morceau de l’Histoire, remonté directement des profondeurs : une pirogue.

    Construit à partir d’un tronc de cyprès creusé, le canot, selon l’Université de Floride, ressemble fortement à ceux utilisés par les Indiens Seminoles de Floride, entre autres.

    Par peur que le camion chargé de ramasser les débris de l’ouragan Irma ne ramasse la trouvaille, Randy Lathrop déclare être allé immédiatement prévenir le Bureau de la Recherche Archéologique de Floride, qui a envoyé un archéologue pour examiner la découverte.

    En attendant d’en savoir plus sur l’âge exact du canot grâce à l’analyse carbone, la Division des Ressources Historiques de Floride nous précise qu’il peut n'avoir que quelques dizaines d’années, tout comme il pourrait être vieux de plusieurs centaines d'années…

    De plus, le bateau de presque 5 mètres de long est recouvert des marques de peinture et de clous de forme carrée. Et comme le fait remarquer Sarah Revell, porte parole de la Division, à ABC News, " les clous carrés étant en production au début du XIXe siècle, cela permet de placer la pirogue historiquement "La pirogue, bien conservée n’est pas un cas exceptionnel. En effet, la Floride étant une région très humide, les conditions permettent de conserver le bois plus facilement et ainsi de faire face à des souvenirs d’une autre époque.

    Les marques de peinture rouges et blanches étant jadis utilisées par les Seminoles, permettent également d’avoir quelques précisions supplémentaires…

    Aujourd’hui, la pirogue va être conservée en sécurité, analysée, puis si elle s’avère historiquement importante, elle sera préservée et exposée aux yeux de tous afin de faire profiter le reste du monde de cette trouvaille venue tout droit des profondeurs des eaux…

     


  • Détaché du plateau de glace Larsen C de l’Antarctique en Juillet dernier, un iceberg plus grand que l'île de Bali est aujourd’hui à la dérive au large du continent de glace.

    Identifié comme l’un des 10 plus grands icebergs jamais enregistrés, le bloc de glace, surnommé A68, vogue désormais au large de l’Antarctique après avoir effectué un mouvement d’avant en arrière.

    Depuis qu’il s’est fissuré et détaché, l’iceberg A68 et son trillion de tonnes ont changé de position plusieurs fois. Mais aujourd’hui, sa destination finale reste indéfinie.

    Aujourd'hui, les scientifiques sont divisés au sujet des conséquences liées à cet événement.

    Certains sont alarmés, ils craignent que l’iceberg ne brise dans sa course d’autres plus petits icebergs et entraîne de gros risques pour les navires alentour. Ils redoutent également qu’il heurte et casse de nouveau la barrière de glace de Larsen.

    Cela dit, certains sont plus optimistes. C’est le cas de Natalie Robinson, membre de l’Institut National de Recherche sur l’Eau et l’Atmosphère. Pour elle, la situation est normale et bien différente de l’effondrement d’autres glaciers.

    Par ailleurs, alors que certains assurent qu'il n'existe aucun rapport avec le réchauffement climatique, d'autres chercheurs, comme Nancy Bertler du Centre de Recherches de l’Antarctique de l’Université de Victoria, affirment le contraire.

    Selon elle, le changement climatique et le trou dans la couche d'ozone sont directement responsables de la fonte de « nombreux icebergs » dans la région.

    Les avis divergent, mais en attendant l’iceberg A68 et ses 5 800 km² sont toujours à la dérive, faisant cap vers l’inconnu.

    Source : PlayGround


  • Si vous êtes de passage par les Pays-Bas et que vous êtes un grand fan d’avocat, assurez-vous de vous rendre à Amsterdam ! La ville, déjà bien connue pour ses canaux, son musée Van Gogh ou encore son quartier rouge, a depuis quelques mois un nouvel argument de poids pour attirer les voyageurs…

    En effet, depuis quelques mois, Amsterdam peut se targuer d’avoir en ses terres un restaurant unique au monde. Baptisé « The Avocado Show », l’établissement est, comme son nom l’indique, entièrement spécialisé en avocat. Que ce soit en entrée, en plat, en dessert ou en cocktail, il y en a pour tous les goûts et dans tous les styles. En tartine, en tarte ou en burger, vous pouvez faire confiance au chef de ce petit paradis des papilles pour vous surprendre.

    Autre avantage qui devrait plaire à tous les passionnés du célèbre fruit, les modèles servis au Avocado Show d’Amsterdam viennent directement du Mexique et constituent donc un produit de qualité. Pour celles et ceux qui l’ignorent, sachez que l’avocat est un aliment de base de la cuisine sud-américaine, et tout particulièrement au Mexique. Chaque jour, plus de 200 d’entre eux sont préparés avec un seul objectif : régaler les clients !

       

     

     


  • « L’art est un mensonge qui dit la vérité… »

    Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.

    Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.

    À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.

    L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.

    Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.

    Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.

    Quel plaisir j'ai eu à lire ce nouveau roman, j'ai adoré et vous aussi vous adorerez le lire si vous êtes un inconditionnel de Monsieur Guillaume MUSSO !

    **** 

    (*Moyen    **Bon    ***Très bon    ****Excellent)


  • Ce n'est pas vraiment un secret, les systèmes de climatisation sont extrêmement gourmands en énergie. Alors qu'ils contribuent à rafraîchir agréablement notre domicile lors des chaudes journées estivales, ils contribuent aussi au réchauffement global de la planète. De quoi nous faire culpabiliser du prix que nous faisons payer à la planète pour notre petit confort personnel.

    Dans bon nombre de pays en développement situés sous des latitudes plus chaudes, le mercure peut vite grimper au point d'atteindre des niveaux difficilement supportables. Dans ce cas, ce n'est pas du luxe que de rafraîchir son environnement, mais cela coûte cher. En Inde, les températures rendent l'utilisation de ventilateurs ou de climatisation nécessaires.

    Ant Studio, une compagnie de design basée à New Delhi, a souhaité remédier au problème en créant une structure capable de rafraîchir l'air ambiant en utilisant un minimum d'énergie. Et ça marche ! Grâce à the Beehive (comprenez « la Ruche»), l'air se rafraîchit simplement grâce à l'utilisation ingénieuse de matériaux tout simples : de la terre cuite, et de l'eau. 

    En plus de préserver les ressources et de consommer peu d'énergie, la structure est également plutôt élégante, et ressemble à une installation artistique doublée d'une fontaine. 

    Cette étrange construction a été baptisée The Beehive, « la Ruche », en référence à sa forme caractéristique en alvéoles. Aussi étonnant que cela paraisse, il s'agit en vérité d'un système... de climatisation !

    La structure est composée de simples tubes en terre cuite, un matériau naturel, non-polluant et très bon marché.

    Les tubes sont tout simplement assemblés sur une structure en métal circulaire...

    Puis, on construit un bassin afin d'y accueillir de l'eau, à la manière d'une fontaine

    Cet ingénieux système a été inventé par Ant Studio, une entreprise basée à New Delhi

    De l'eau ruisselle en circuit fermé sur les tubes en argile, qui absorbent le liquide. L'air s'engouffre alors dans les tubes, transformant le vent chaud en une délicieuse brise rafraîchissante !

    Un système très économe en énergie, qui pourrait représenter une solution d'avenir, ainsi qu'une piste intéressante pour climatiser des habitats éco-responsables. Et en plus, c'est plutôt joli !


  • Si vous prévoyez un voyage sur la côte ouest américaine, il y a de fortes chances pour que vous ayez entendu parler du parc national de Yosemite. Et pour cause, avec ses immenses chutes d’eau et ses dômes granitiques spectaculaires, cette réserve naturelle inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1984 a de quoi attirer les visiteurs.

    Situé dans le massif montagneux du Sierre Nevada, le parc national de Yosemite est le troisième plus grand parc de Californie (3 079 kilomètres carrés, ndlr) et le deuxième plus vieux des États-Unis, après celui de Yellowstone, également très célèbre. En bref, il s’agit d’un lieu d’exception à ne surtout pas rater si vous êtes de passage dans le coin. Si les photos suivantes sont particulièrement impressionnantes, gardez à l’esprit que cela doit être encore plus fou dans la vraie vie !

     


  • Aujourd'hui, cela faisait bien des années que l'on n’avait pas vu de loups dans les alentours de Rome. Il faut dire que, depuis l'époque de Remus et Romulus, les paysages ont bien changé, et les bois et les rivières ont été remplacés par les quartiers satellites et les cités-dortoirs. Avec l'urbanisation galopante, le manque d'espace et la présence humaine, les canidés altiers ont depuis longtemps quitté les lieux, au profit de zones plus calmes et plus sauvages.

    Pourtant, des loups ont été récemment aperçus aux alentours de Rome, pour la première fois depuis de nombreuses décennies. Les animaux ont pu être repérés grâce à des caméras cachées par des observateurs de la LIPU (la  ligue italienne de protection des oiseaux). Comme on peut s'en douter, ces mammifères au tempérament discret et prudent ne se promenaient pas dans la rue, mais dans une réserve naturelle boisée située dans la zone de Castel di Guido.

    Cependant, l'endroit où ils ont été aperçus se trouvait à une étonnante proximité de la ville, juste à l'extérieur du périphérique qui encercle la capitale italienne, à moins de 5 km. La proximité de cette autoroute à trois voies extrêmement fréquentée, et celle de l'aéroport international Leonardo da Vinci (le plus grand de Rome) n'avait pas l'air de trop gêner les loups.

    Les biologistes estiment qu'il y aurait au moins deux louveteaux et deux adultes qui vivraient dans la réserve, formant une petite famille. L'individu mâle a été baptisé Romulus par les chercheurs.

    « C'est la première fois, depuis plus d'un siècle, que des loups ont été aperçus aussi près de Rome », s'enthousiasme Alessia De Lorenzis, interrogé par The Telegraph. « Nous sommes vraiment contents de leur retour »

    Les habitants de Rome sont en effet attachés à la figure emblématique du loup, symbole antique de leur ville. Les animaux ne devraient pas poser de problème pour les animaux domestiques, puisqu'aucun élevage ne se trouve dans leur zone. Les analyses d'excréments relevés par les chercheurs montrent qu'ils se nourrissent exclusivement de sanglier sauvage, des animaux qui pullulent en grand nombre dans la forêt en l'absence de prédateurs. C'est donc une bonne nouvelle, tant pour l'image de la ville que pour le milieu ambiant.

    Fortement chassés, les loups ont quasiment frôlé le bord de l'extinction en Italie, comme dans de nombreux autres pays d'Europe, et les tuer était encouragé par les autorités jusque dans les années 70. À l'époque, seule une petite centaine d'entre eux subsistait dans le pays entier. Aujourd'hui, grâce aux efforts de préservation, on estime qu'entre 1 500 et 2 000 individus se trouvent en Italie, les plus fortes populations étant concentrées dans les Apennins et dans les Alpes.

    Source : The telegraph