• Muchachas 3

    Pour certaines, c'est l'heure de la revanche. Pour d'autres, celle de la délivrance. Ou de l'espérance. Tout se noue, se dénoue, se renoue. Les muchachas avancent à grands pas. On ne sait jamais ce qui va arriver. On retient son souffle, on croise les doigts. Et viva les muchachas !

    Ah les muchachas ! Et bien, j'aurais mieux fait de dépenser mon argent à l'achat d'autres livres ! Heureusement que dans le troisième tome on retrouve Stella, la suite du premier tome, et qui n'a rien à voir avec l'histoire du deuxième tome. Vous me suivez ? Non ? Et bien c'est comme moi à la lecture de cette trilogie. Et puis la fin, Ray qui meurt en héros, et puis quoi encore ! Il aurait fallu qu'il se fasse découper en morceaux celui-là !! Le pire dans tout ça, c'est qu'il y aura une suite dans quelques années : Hortense qui sera hystérique dans sa maison de couture, qui fera sa loi et patati et patata. Et bien je dis NON, Katherine, arrête moi tout ce cirque et concentre toi sur un bon roman et arrête avec tes trilogies car là y'en a ras-le-bol ! Voilà je viens de piquer ma crise et ça va mieux ! Désolé Katherine mais il fallait que cela sorte ! Je te mets quand même 1 étoile, sans rancune !

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    *  Moyen

    **  Bon

    *** Très bon

    **** Excellent

     


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    Pour 4 personnes : 700 gr de lotte, 2 oignons, 2 carottes, 600 gr de pommes de terre, 150 gr de champignons, 10 cl de vin blanc, 10 cl d'eau, 30 cl de crème liquide, 1 boîte de bisque de homard, huile d'olive.

    Epluchez les légumes et préparez la lotte en gros morceaux. Farinez les morceaux de lotte et faites-les revenir dans de l'huile d'olive. Retirez la lotte de la cocotte. Faites revenir les oignons émincés et les carottes en rondelles. Ajoutez le vin blanc, l'eau et le pommes de terre en gros quartiers. Salez, poivrez. Laissez cuite à feu très doux à couvert 20 minutes. Ajoutez la bisque de homard, les champignons en quartiers, la lotte et faites cuire pendant 15 minutes. Incorporez la crème juste avant de servir.

    La Cotriade doit son nom au breton "kaoteriad" c'est à dire le contenu d'une marmite. La Cotriade est au Breton ce la Bouillabaisse est aux Méridionaux.

     

     



  • Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C'est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s'inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s'envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d'amour lancés à la volée. La vie, quoi !

    "Mais qu'est-ce qui t'a pris, Katherine ? j'ai acheté le tome 2, en pensant retrouvé Stella, la fille de ce salopard de père, Ray. Et là, rien, nada, ou presque. On revient sur les problèmes d'Hortense, qui veut être riche et célèbre. Là j'ai terminé le livre, mais j'ai peiné à le finir car trop c'est trop. Bon à vrai dire, Katherine, tu as du talent car il y a pas mal de remarques intelligentes, et puis j'ai bien rigolé surtout dans ton dernier chapitre avec la reine de la turlutte. Je te préviens, Katherine, si dans le tome 3 et dernier volet des muchachas, je ne retrouve pas Stella, je fais un scandale et je demande le remboursement de ces trois livres. Et dans le cas, où l'on retrouve Stella dans ce dernier bouquin, vous faites l'impasse de l'achat du tome 2 !!!"

    Quelques phrases a retenir :

    L'amour est ce que tu veux qu'il soit. C'est une grande échelle. Elle t'emmène au ciel ou en enfer. A toi de choisir. Moi j'ai choisi le ciel et un trône. Je règne. Comme les princesses dans les contes qu'on lisait, petites. Il ne faut surtout pas avoir peur. Sinon, tu t'écrases par terre. Tu finis en bouillie. Moi, assise sur mon trône, je suis une princesse, sûre de moi. Sûre de l'autre. Comment fait-on pour s'asseoir sur un trône ? Il faut se dire qu'on est unique, que personne ne nous arrive à la cheville. On est tous uniques. On l'oublie trop souvent. Tu sais ce que disais Oscar Wilde ? "S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui dure toute la vie." C'est la seule histoire d'amour qui vaille la peint. Elle conditionne toutes les autres.

    Hortense a horreur du malheur. Elle se bouche les oreilles quand les gens se plaignent, parlent de leurs douleurs, de leurs chagrins. Elle se bouche le nez. Ca pue, le malheur ! Elena ne parle jamais de ses peines, des proches qu'elle a perdus. De la mort qui approche à grands pas en agitant sa longue faux. Elle doit claquer des dents parfois, la nuit dans son grand lit. L'autre jour jour Hortense lui avait demandé comment elle faisait pour avoir l'air toujours heureuse. "Vous êtes vieille, vous allez mourir bientôt vous continuez à vous régalez de tout ! Elena lui avait répondu avec un petit sourire rusé : je cache mon malheur sous des couches de bonheur. C'est mon secret.

    Chacun de nous est sur terre pour accomplir UNE chose. Une chose dans laquelle il va exceller. Trouver cette chose est LE but de la vie car c'est trouver sa place. Tout le reste, tu m'entends bien, Hortense, tout le reste est inutile. Pourquoi ? Parce que lorsque tu as trouvé ta place, tu n'as plus qu'une hâte, c'est de l'occuper. Tu te moques pas mal de ce que pensent les autres. Tu n'es plus jamais méchant, ni envieux, ni malveillant. Tu existes et cela te suffit.

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    *  Moyen

    **  Bon

    *** Très bon

    **** Excellent

     

     

     


  • Jamais en mal d'innovation, l'armée américaine vient de tester un canon destiné à être monté sur des navires de guerre et capable de tirer des obus filant à la vitesse hallucinante de 8700 km/h. 7 fois plus rapide que le son ! Le secret : l'obus n'est pas éjecté par une explosion de poudre, comme c'est le cas d'habitude, mais par un puissant courant électrique. Il n'emporte aucune charge explosive : sa vitesse de propulsion suffit à détruire n'importe quel blindage.


  • Sport pôle position !

    C'est l'endroit le plus froid, le plus désert et le plus isolé de la planète. Et c'est là qu'ont choisi de courir les 48 participants (dont un Français) de la 9ème édition du Uvu North Pole Marathon, le 9 avril dernier. 42,195 km par -30°C sur un terrain de glace et de neige plat comme la main et ouvert à tous les vents. De rudes conditions que les coureurs ont choisies, mais aussi pour les quelles ils ont payé une petite fortune. Les frais d'inscription, 11900€, couvraient les traditionnels tee-shirts et médailles, l'encadrement médical, mais surtout le trajet aller-retour en avion depuis les îles du Spitberg jusqu'au Pôle nord géographique, point de départ et d'arrivée de la course. Cette année, il n'a fallu que 4h07 à l'Américain Michael Wardian pour boucler la boucle, deux fois plus de temps que pour un marathon classique. Le Français Pierre Wolkonsky est arrivé 9ème avec 7h25 de course et le dernier est arrivé après 12h39, il était 31ème. Moi je dits : "chapeau" !



  • Koreus.com

    Dans le village de Vrontados, sur l'île grecque de Chios, pendant les festivités de Pâque orthodoxe, deux paroisses voisines se livrent à un duel de feux d'artifice, chacune essayant de toucher le clocher de l'autre. Précisons que ce joyeux refouloir n'interrompt pas les célébrations religieuses : la messe est dite dans les deux églises pendant les tirs ! L'origine de cette tradition est incertaine. Elle remonterait à l'occupation ottomane, pendant laquelle le culte chrétien était interdit. Les villageois de Chios auraient inventé cette diversion afin de focalise l'attention des autorités turques sur les échanges de tirs pendant que se déroulaient les offices religieux.



  • Comme presque tous les ans, nous allons passés quelques jours sur l'Île d'Yeu. Cette année, changement de chambre d'hôte. Et là surprise, très belle surprise, nous avons trouvé sur le net cette chambre d'hôte, récemment ouvert. Un accueil des plus agréables, une superbe décoration, au calme et à 2 pas des quais de Port Joinville. L'année prochaine c'est évident que nous y retournerons et nous essaierons la table d'hôte. Un petit film à visionner :


  • Ils étaient 1200 Vénitiens à se positionner sur la place Saint-Marc, armés de grandes feuilles rouges et vertes, pour former une rose de plus de 200 mètres de long. C'était le 25 avril dernier, jour de la Saint-Marc, patron de Venise, et de la resta del bocolo (fête du bouton de rose). Selon une tradition remontant du Moyen Age, les hommes offrent une rose rouge à leur bien-aimée. Et aussi... à leur mère. Le même jour, le pays commémore la Libération à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.