• Muchachas 2 de Katherine Pancol *

    Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C'est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s'inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s'envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d'amour lancés à la volée. La vie, quoi !

    "Mais qu'est-ce qui t'a pris, Katherine ? j'ai acheté le tome 2, en pensant retrouvé Stella, la fille de ce salopard de père, Ray. Et là, rien, nada, ou presque. On revient sur les problèmes d'Hortense, qui veut être riche et célèbre. Là j'ai terminé le livre, mais j'ai peiné à le finir car trop c'est trop. Bon à vrai dire, Katherine, tu as du talent car il y a pas mal de remarques intelligentes, et puis j'ai bien rigolé surtout dans ton dernier chapitre avec la reine de la turlutte. Je te préviens, Katherine, si dans le tome 3 et dernier volet des muchachas, je ne retrouve pas Stella, je fais un scandale et je demande le remboursement de ces trois livres. Et dans le cas, où l'on retrouve Stella dans ce dernier bouquin, vous faites l'impasse de l'achat du tome 2 !!!"

    Quelques phrases a retenir :

    L'amour est ce que tu veux qu'il soit. C'est une grande échelle. Elle t'emmène au ciel ou en enfer. A toi de choisir. Moi j'ai choisi le ciel et un trône. Je règne. Comme les princesses dans les contes qu'on lisait, petites. Il ne faut surtout pas avoir peur. Sinon, tu t'écrases par terre. Tu finis en bouillie. Moi, assise sur mon trône, je suis une princesse, sûre de moi. Sûre de l'autre. Comment fait-on pour s'asseoir sur un trône ? Il faut se dire qu'on est unique, que personne ne nous arrive à la cheville. On est tous uniques. On l'oublie trop souvent. Tu sais ce que disais Oscar Wilde ? "S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui dure toute la vie." C'est la seule histoire d'amour qui vaille la peint. Elle conditionne toutes les autres.

    Hortense a horreur du malheur. Elle se bouche les oreilles quand les gens se plaignent, parlent de leurs douleurs, de leurs chagrins. Elle se bouche le nez. Ca pue, le malheur ! Elena ne parle jamais de ses peines, des proches qu'elle a perdus. De la mort qui approche à grands pas en agitant sa longue faux. Elle doit claquer des dents parfois, la nuit dans son grand lit. L'autre jour jour Hortense lui avait demandé comment elle faisait pour avoir l'air toujours heureuse. "Vous êtes vieille, vous allez mourir bientôt vous continuez à vous régalez de tout ! Elena lui avait répondu avec un petit sourire rusé : je cache mon malheur sous des couches de bonheur. C'est mon secret.

    Chacun de nous est sur terre pour accomplir UNE chose. Une chose dans laquelle il va exceller. Trouver cette chose est LE but de la vie car c'est trouver sa place. Tout le reste, tu m'entends bien, Hortense, tout le reste est inutile. Pourquoi ? Parce que lorsque tu as trouvé ta place, tu n'as plus qu'une hâte, c'est de l'occuper. Tu te moques pas mal de ce que pensent les autres. Tu n'es plus jamais méchant, ni envieux, ni malveillant. Tu existes et cela te suffit.

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    *  Moyen

    **  Bon

    *** Très bon

    **** Excellent

     

     

     


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