Si la seule chose qui vous calme à l’idée de partir à l’autre bout du monde, c’est de passer de (TRÈS) longues heures assis dans un fauteuil pas vraiment confortable et entouré d’inconnus, alors vous risquez d’être rapidement en manque d’excuses.

Car plusieurs compagnies aériennes réfléchiraient à intégrer des espaces de couchage dans les avions. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, cette petite révolution ne serait pas seulement réservée à la première classe, mais également disponible dans la version « économique et petits budgets ».

À moins que vous ne fassiez partie de celles et ceux qui peuvent se payer des billets en business, vous vous souvenez sans doute à quel point les fauteuils des avions son inconfortables. Pire encore, quand il s’agit de vols long-courriers. On a du mal à dormir, les heures de vol s’enchaînent puis, à l’arrivée, on est claqué. Mais ça pourrait changer.

L’entreprise à la base de ce projet, c’est Formation Design. La firme américaine, basée à Atlanta, est spécialisée dans l’innovation, le design mais aussi dans l’aménagement d’espace. Ce sont les architectes et les ingénieurs de Formation Design qui ont, en collaboration, imaginé ce système de couchettes embarquées en cabine. Ces derniers ne souhaitent pas seulement remplacer les sièges par des lits, mais bel et bien redéfinir l’ergonomie intérieure de l’appareil.

Et, dans la réalité, voici comment le système prendrait vie : les lits standards en bas et les modèles plus grands et plus confortables au-dessus :

Une bonne idée n’est-ce pas ? En tout cas, j'ai hâte d’essayer !

Mike Horn, l’un des explorateurs les plus en vue du moment, révélé grâce à « The Island » sur M6 et ses expéditions musclées dans « À l’état sauvage » avec Mickael Youn et plus récemment M. Pokora, vient de réaliser un exploit hors du commun. En effet, le Sud-Africain a réussi la traversée de l’Antarctique… sans moteur, et en solitaire !

Pour réaliser cet exploit, long de 5 100 kilomètres, l’aventurier de 50 ans a mis 57 jours. Pendant près de deux mois, il s’est donc battu contre les éléments, principalement le vent et le froid qui, dans cette partie de la planète, peuvent s’avérer particulièrement dangereux. Mike Horn y est finalement parvenu et est arrivé à bout de ce défi hors-norme le 7 février dernier.

Malgré son expérience de survie dans les milieux hostiles, tout n’a pas été si simple pour lui. L’explorateur-star a notamment eu affaire à la casse d’un de ses skis dès les premiers kilomètres du périple. Heureusement, son savoir-faire en réparation d’urgence lui a permis de l’utiliser jusqu’à la fin. Ensuite, c’est l’une des trois voiles de kite qui le tractent qui va se déchirer. Enfin, son matériel de cuisine, indispensable car il lui permettait de fondre de l’eau et de cuisiner, a également été endommagé.

De nombreuses difficultés qui, a aucun moment, n’ont découragé Mike Horn. D’ailleurs, la distance réalisée en « seulement » 57 jours témoigne d’un rythme effréné : cela représente 89 kilomètres par jour, en moyenne. Un temps limité, qui aurait pu être davantage écourté si le célèbre aventurier n’avait pas été contraint de passer plusieurs jours cloîtré sous sa tente face à une météo très capricieuse (froid extrême, tempête de neige, vents violents, etc.). Pour l’anecdote, lors de sa journée la plus prolifique, Mike Horn a parcouru 200 kilomètres. Quand même !

En réalisant l’exploit de traverser intégralement ce continent, sans moteur et en solitaire, et en ayant eu l’occasion de fouler des régions jusque-là inexplorées par l’Homme, le Sud-Africain entre dans l’histoire des exploits historiques. Un seul mot : RESPECT.

En 1953, quand Edmund Hillary et Tenzing Norgay réalisent la première montée confirmée jusqu’au sommet de l’Everest, ils ne se doutaient peut-être pas que leur exploit allait transformer le pic 60 ans plus tard. En effet, aujourd’hui, de nombreuses personnes tentent la montée chaque année, au point qu’escalader l’Everest est devenu un vrai commerce, avec des tickets d’entrée à environ 50 000 euros. 

Et, malgré ce prix faramineux, il y a du monde qui gravit chaque année ce sommet. Tellement… que le plus haut sommet de la planète est en passe d’avoir sa propre borne Wi-Fi ! Oui oui, vous avez bien lu…

Les autorités népalaises ont en effet décidé d’installer ce relais pour trois raisons. D’abord, pour permettre d’appeler les secours et être joignable en cas d’urgence. Ensuite, la zone pourra aussi servir de point de repère. Enfin, évidemment, les touristes présents sur place pourront se connecter à Internet via leurs smartphones et ainsi communiquer et partager en direct avec le monde entier. #instagram

Petite précision tout de même : la borne Wi-Fi ne sera pas placée au sommet de l’Everest, à 8 848 mètres, mais à l’un des paliers de l’ascension, à 5 360 mètres d’altitude. La zone choisie, souvent utilisée lorsque les groupes de randonneurs effectuent des pauses, est donc optimale pour que le plus grand nombre puisse profiter du service.

Incroyable, n’est-ce pas ?

Voilà une nouvelle qui devrait enchanter tous les globe-trotters en herbe désireux d’aller découvrir le monde. La compagnie aérienne néo-zélandaise Air New Zealand propose un billet d’avion unique pour un tour du monde à moindre coût.

Les voyages forment la jeunesse. Raison pour laquelle nombreux sont ceux qui s’accordent de longs mois pour voyager à travers le globe, que ce soit vers l’Amérique du Nord, l’Amérique Latine ou encore l’Asie. S’il y a un continent qui nous paraît à l’autre bout du monde, c’est quand même l’Océanie avec l’Australie et son petit voisin de la Nouvelle-Zélande. Des destinations lointaines mais tout aussi attirantes que les autres.

Un billet d'avion unique pour un tour du monde complet !

Ainsi, Air New Zealand vient de trouver la bonne solution pour rendre son pays plus attractif pour les globe-trotters, aguerris ou non. En effet, elle propose depuis le 3 février dernier la possibilité de réserver un billet d’avion pour faire le tour du monde et ce, jusqu’en Nouvelle-Zélande.

Plus précisément, pour 1 402 euros minimum, la compagnie vous propose ce billet unique qui peut comporter jusqu’à quatre escales dans le monde. Pour ces quatre escales, Air New Zealand vous offre un panel de dix villes sur les différents continents de la planète.

4 escales parmi 10 villes au choix

Conscient de se situer au bout du monde, la responsable de la compagnie néo-zélandaise en France s’explique sur cette nouvelle offre qui devrait trouver preneur : « Les passagers doivent traverser le globe pour venir chez nous. Autant leur offrir la possibilité de faire une pause dans une destination de leur choix. »

Dès lors, en achetant ce simple billet, c’est donc à vous de préparer votre petit trip en choisissant vos escales entre ces dix villes : Tokyo, Singapour, Hong-Kong, Shangaï, Vancouver, San Francisco, Los Angeles, Tahiti, les îles Fidji et les îles Cook. Également, l’Australie et les autres îles du Pacifique sont également une option en supplément…

Un petit bain de foule à Tokyo ?

Autant dire que le choix est vraiment diversifié puisque vous avez la possibilité de varier les plaisirs pour un coût vraiment minimal, et vous éviter de multiplier votre budget en billets d’avion. Une fois votre billet en poche, vous pourrez donc commencer par un séjour dans le grand froid de Vancouver, avant de vous envoler vers la fourmilière d’une grande métropole asiatique, d’enchaîner vers la tranquillité d’une île paradisiaque, avant de rejoindre votre destination finale.

Suivi d'un séjour farniente sur les îles Cook ?

Il faut savoir également que ce billet est valable un an, ce qui signifie que vous pourrez rester plusieurs mois à un endroit, avant de reprendre un avion avec ce même billet… Et si jamais vous avez un imprévu, il vous sera possible de modifier votre trajet sans le moindre frais, mais en prévoyant la différence des taxes.

Alors, quand est-ce qu’on part ?

La compagnie aérienne Norwegian Air a décidé de casser les prix du marché, en proposant le vol transatlantique le moins cher (et de loin !). Pour 65 euros seulement, vous aurez l’opportunité de faire Edimbourg-New York lors de l’été 2017.

De suite, on sent votre déception car ce vol ne comprend pas de départ depuis la France... Mais pour un tarif aussi bas, l’aventure en Écosse ne peut pas faire de mal. En effet, l’aéroport d’Edimbourg a l’avantage d’être très bien desservi par les compagnies low cost comme EasyJet, RyanAir ou BravoFly.

Mais comment la compagnie norvégienne parvient-elle à fixer un prix aussi bas pour un vol aussi long ? Tout d’abord, ça s’explique par la bonne santé financière de Norwegian Air qui a réalisé avec succès beaucoup d’économies ces dernières années.

De plus, la compagnie va bientôt accueillir dans sa flotte des avions Boeing 737MAX, qui consommeront moins de carburant. Enfin, l’atterrissage à New York ne se fera pas à JFK, LaGuardia ou Newark, mais dans des aéroports secondaires, réduisant ainsi ses coûts.

Ce n’est pas la première fois que Norwegian Air s’illustre avec ses tarifs défiant toute concurrence. Elle avait déjà proposé un vol Londres-Gatwick-New York à moins de 150 euros.

Cependant, il faut savoir que les extras compensent tout de même le tarif « bon marché » du vol. En effet, chaque option, comme le bagage en soute, le repas à bord ou le choix du siège, peut vous coûter un peu plus de 55 euros…

tentant quand même, n'est-ce pas ?

Pour pouvoir visionner ma vidéo du Costa Rica d'une durée d'une heure, merci de me donner votre adresse mail, je vous enverrai un lien pour télécharger le fichier (près de 10 GO). Il y aura un peu plus de 500 photos et une centaine de petites vidéos qui mis bout à bout vous fera vivre notre voyage comme si vous y étiez.

Bornholm, une île danoise de la mer Baltique, fin des années 1990. Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé dans un arbre, son vélo broyé au bord de la route. Aucune trace du chauffard : affaire classée. Sauf pour un inspecteur de la police locale qui fini 17 ans plus tard par demander l'aide de l'inspecteur Carl Morck. Avant de se tirer une balle dans la tête. A l'initiative de Rose, l'assistante du flegmatique Morck, l'insolite trio du Département V en charge des Cold Cases débarque sur l'île de Bornholm. En remuant le passé, ils prennent le risque de réveiller de vieux démons...

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(*Moyen    **Bon    ***Très bon    ****Excellent)

Salut, 

Cherchez-vous un relooking  ? J'ai la solution : 

Voilà. Les vacances sont terminées pour nous. Nous Nous sommes bien amusé, bref nous avons bien profité. Maintenant, (dur) retour à la réalité. Ce moment compliqué, où une fois de plus, on se rend compte que notre job ne nous fait pas particulièrement rêver… Que diriez-vous de tout plaquer, de voyager et d’être payé pour prendre des photos et les poster sur Instagram ? La compagnie de croisières britannique Royal Caribbean propose de vivre cette expérience unique.

La société de transport maritime a annoncé via son compte Instagram être actuellement à la recherche d’une personne pour un stage d’une durée de trois semaines. Pendant cette période, l’heureux(se) élu(e) sera chargé(e) de « trouver et documenter tout ce qu’il y a d’extraordinaire lors du quotidien de la croisière via Instagram. » Tout ceci, en ayant la chance de découvrir différents endroits comme New York, les Caraïbes, l’Asie ainsi que la Méditerranée. Sans oublier la rémunération, avantageuse, qui s’élève à 3 500 euros.

Forcément, beaucoup d’entre vous vont se demander comment tenter sa chance pour gagner cette opportunité de rêve… Pour postuler, pas besoin de 5 ou 10 ans d’expérience comme dans de nombreux autres jobs, mais il y a tout de même quelques critères non négociables. Il faut : posséder un smartphone, connaître et maîtriser Instagram, avoir 21 ans ou plus et posséder un passeport UK ou irlandais. En d’autres termes, l’immense majorité des jeunes peut espérer décrocher le jackpot et partir voguer sur les mers du monde. Et pour celles et ceux qui ne souhaitent pas quitter leur travail, rien ne vous empêche (dans le cas où vous seriez sélectionné) de profiter de la croisière en posant des vacances.

Vous êtes intéressé ? Voici le message de la compagnie qui explique comment déposer votre candidature :

« Nous sommes à la recherche d’un #ExtraordinaryExplorer pour 3 semaines de stage Instagram l’été prochain ! Le candidat naviguera les mers et sera chargé de photographier des endroits incroyables et de raconter des histoires étonnantes. Vous souhaitez postuler ? Postez une super photo ou vidéo de voyage sur Instagram en taguant @RoyalCaribbeanUK et utilisez le hashtag #ExtraordinaryExplorer ! Les candidats doivent âgés d’au moins 21 ans. Lien : https://www.royalcaribbean.co.uk/extraordinary-intern-ship/ »

Alors, on tente sa chance ?

Hello ! 

La réponse à l'énigme d'hier est la suivante : 

Le piment ! Caliente !