Bonjour,

qu'est-ce que c'est que ça ? Un cochon ? Un mouton ? Un mouchon ?

C'est un "mangalitza", ou porc laineux, qui vient de Hongrie. Je le trouve plutôt cool, et vous ?

Salut !

Aujourd'hui c'est lundi... Et comme si ça suffisait pas, c'est aussi le Blue Monday : le lundi le plus triste de l'année (c'est la Science qui le dit).

Alors mangez beaucoup de chocolat (ça aide pour le moral) et régalez-vous !

Le 28 août 1853, au restaurant Lake House de Saratoga Springs (Etat de New York), le cuisinier George Crum est furax. Un client vient de lui renvoyer pour la deuxième fois son assiette de frites. "Trop épaisses", aurait-il décrété. Vexé, Crum prend son couteau et coupe des tranches exagérément fines. Presque transparentes. Un petit tour dans la friteuse, et hop ! Il les arrose ensuite de sel. Voilà un plat qui promet d'être immangeable, de quoi donner une bonne leçon à ce client prétentieux ! Curieusement, ces copeaux - chips en anglais - ravissent le gourmet. Le cuissot, agréablement surpris, propose sa trouvaille à d'autres clients, qui en redemandent. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. En effet, les copeaux dégustés chauds ne ressemblent pas encore à nos chips modernes, servies à température ambiante. Une fois de plus, Crum va innover. A la fin des années 1850, quand il ouvre son propre resto, il place sur chaque table un panier de chips froides. C'est sa marque de fabrique. Mais il faudra encore attendre 73 ans pour que les chips passent de la nappe de restaurant à la nappe de tous les pique-niques. Et ce grâce à Laura Scudder, une Californienne, qui en 1926 se met à les vendre dans des sacs en papier ciré. Les chips "nomades" que l'on peut grignoter partout sont enfin nées.

En 1953, un jeune publicitaire appelé Harvey Ball crée en 10 minutes ce qu'il appelle un "happy face", un visage jaune souriant destiné à remonter le moral des employés d'une société d'assurance du Massachusetts. Il ne pense pas alors à protéger son rouvre, qui tombe dans le domaine public. Il ne touche que 45 dollars. 17 ans plus tard, les frères Spain de Philadelphie, réutilisent ce logo souriant, accompagné du slogan "have a nice day" sur des tee shirts, des muge, des badges. En pleine guerre du Viet Nâm, alors que les Américains sont déprimés, ce drôle de visage souriant fait un carton !

Retour de vacances avec pleins de belles choses dans la tête, de belles rencontres, d'anecdotes, de photos, de vidéos, mais pour cela il faudra attendre un tout petit peu, le temps que je fasse le tri que je monte les films et que je rédige pleins d'articles sur nos vacances.

Alors à très vite.

Hello !

Nous vivons dans l'ère de l'intelligence. C'est vrai, nous sommes entourés de millions de smartphones, de smartwatchs, de smartcards. Je me demande tout de même comment avons-nous pu survivre jusqu'à aujourd'hui, sans la superbe "SmartFryingPan" ? Connectée à votre poêle, l'app suit en temps réel la cuisson de votre steak, et vous avertit juste avant qu'il se transforme en charbon : 

On a adoré, vivement nos prochaines vacances !

Demain, c'est le retour !!

C'est décidé, on achète ce ponton, la cabane, la terrasse, le petit bout de plage, et on reste ici !!

Et une tortue !