• Le corps d'un enfant de huit ans est repêché dans un étang isolé au fond des bois. Le cadavre, complètement nu, ne représente aucun signe de lutte ni de violence sexuelle, laissant à penser que le petit garçon a succombé à un accident. Seulement il s'agit du cinquième enfant qui meurt dans cette petite ville de l'Yonne en moins de deux mois. Et cette fois il s'agit du fils du légiste. Alors on m'a appelé pour que je prenne le relais. Moi, vous me connaissez, je suis incapable de refuser quand on me demande un coup de main. Entre autre... 

    Je n'avais encore jamais lu d'enquête de l'embaumeur et je suis content d'avoir commencé par celle écrite par Jacques Saussey (merci Karine pour ce choix !). C'est un excellent auteur et là encore il montre tout son talent dans l'écriture d'un récit où il doit quand même respecter certaines consignes, avec un choix de sujet très dur. 

    ***

     

    (*Moyen    **Bon    ***Très bon    ****Excellent)

     

     


  • Deux Inuits se livrent à une danse du tambour traditionnelle sur l'Île Devon, au Canada.

     


  • Le Klioutchevskoï, aussi appelé Klioutchevskaïa Sopka est le plus haut sommet et le volcan le plus actif de la péninsule du Kamtchatka, en Russie. Il culmine à 4 750 mètres d'altitude et est actif depuis 1697.

     


  • Un ours polaire se repose sur la fragile banquise de l'océan Arctique. À mesure que les glaces polaires fondent, l'habitat naturel des ours polaires continue de se réduire. Les scientifiques estiment que leur population sera réduite de 30 % à l'horizon 2050.


  • Le photographe Lukas Neuwirth de la communauté Your Shot se préparait pour photographier le Mont Saint-Michel au coucher du soleil lorsqu'il a été surpris par une averse. Après la pluie, il a installé son trépied et a capturé cette magnifique pluie d'éclairs.


  • Les arbres bordant la New Hampshire Route 112 se parent des couleurs de l'automne. Cette photo a été prise par un drone.


  • Chronique hospitalière d'un autisme ordinaire de Geneviève TOUQUETTE ***

    L'auteur, infirmière en pédopsychiatrie, témoigne de son expérience au sein d'une unité hospitalière chargée d'accueillir en internat des enfants présentant des troubles divers du comportement. C'est plus particulièrement à travers le cas de Sophie, une petite fille qui va peu à peu réussir à sortir de son autisme, que Geneviève Touquette nous fait découvrir son quotidien, celui de toute l'équipe soignante et celui des vingt-cinq enfants hospitalisés dans son service.

    Une belle rencontre avec Geneviève, au Centre Culturel de Pornic. Un beau témoignage de ce qu'est ce métier.

    ***

    (*Moyen    **Bon    ***Très bon    ****Excellent)

     

     


  • Ne jetez plus vos restes de gâteaux, utilisez vos cakes, marbrés ou madeleines pour préparer des cakes pops, agrémentés de nutella et entouré de chocolat croquant. Une gourmandise à essayer en famille ou entre amis !

    Pour réaliser cette recette, suivez les étapes ci-dessous :

     

    Cake pops aux restes de gâteau

     

    Ingrédients :

     

    - 200 g de restes de gâteau (cake, quatre-quarts, madeleines, gâteau au yaourt…)

    - 4 cuillères à soupe de nutella

    - 200 g de chocolat noir

    - Billes de sucre colorées

     

    Matériel

    - 15 bâtons de sucette

     

    Préparation :

     

    1. Coupez grossièrement les restes de gâteau. Mettez-les dans le bol d’un robot et mixez quelques secondes jusqu’à obtenir des miettes. Versez-les dans un saladier, ajoutez le Nutella et mélangez bien. Façonnez quinze boules de la taille d’une noix, plantez un bâton de sucette dans chacune et laissez reposer une heure au frais.

    2. Faites fondre le chocolat au bain-marie. Trempez les boules de gâteau dans le chocolat fondu. Tapotez légèrement les bâtons de sucette pour éliminer le surplus de chocolat. Saupoudrez immédiatement de billes de sucre.

    3. Placez 2 heures au frais avant de déguster.

     

    Bon appétit !


  • Un émeu sort tout doucement de sa coquille dans le Wild Rose Emu Ranch, dans le Montana. La photographe Pam Voth a attendu des heures pour saisir cet instant unique.


  • Les herbes, les arbustes, la bruyère mauve de la lande écossaise constituent un décor naturel idéal pour un roman. Elle abrite les rêveries mélancoliques des personnages du célèbre livre d’Émilie Brontë, Les Hauts de Hurlevent. Mais aussi la tumultueuse enquête de Sherlock Holmes dans Le chien des Baskerville d’Arthur Conan Doyle.

    Un décor naturel, vraiment ? Ce paysage, recouvrant aujourd'hui 40 % du territoire britannique, est pourtant 100 % artificiel. Il y a 10 000 ans, avant que l'homme ne s'installe en Écosse, la zone était composée majoritairement de forêts. À l'instar des oliveraies de Toscane, la lande est le fruit d'un long travail de plantations et d'aménagements mené par l’homme. Pour qu’elle se tapisse ainsi de callunes - la bruyère ordinaire -, il faut pratiquer régulièrement des brûlis sélectifs. Ainsi, les arbres ne se développent pas en trop grand nombre.

     Aujourd’hui les enjeux écologiques et économiques poussent à replanter des arbres sur la lande. Le but ? Développer l’industrie du bois tout en augmentant la capacité d’absorption des gaz à effet de serre du territoire. Pour atteindre ces objectifs, un plan de reboisement d’un cinquième de l’Écosse est prévu. Problème : il menace les nombreuses espèces d’oiseaux qui vivent dans la lande. Le retour à la végétation d’origine n’est pas le seul sujet de controverse. Ces terres appartiennent, en majorité, à de riches propriétaires qui les transforment en domaine de chasse ou en terrain de golf. Dans ce contexte, comment les protéger ? Nous vous proposons de découvrir l’envers du décor, mais, surtout, les querelles entre chasseurs et militants écologistes qui n'en finissent pas de s'écharper sur la question. Un récit rocambolesque vous attend dans le magazine National Geographic d’août 2017.