• Vous pensez que le camping est réservé aux humains ? Et bien détrompez-vous ! La preuve avec Azuki, un hérisson qui n’a pas résisté à l’appel de la tente et des repas en plein air.

    Particulièrement célèbre au Japon, où il vit, ce dernier est habituellement mis en scène sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram où son profil compte plus de 200 000 abonnés. Cette fois-ci, le minuscule spécimen ne s’est pas montré emmitouflé dans une couverture bien au chaud, mais plutôt lors d’une expédition en pleine nature.

    L'Islande

     

     

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  • « Fly now, pay later », la nouvelle initiative d'Etihad pour permettre à tout les budgets de voyager

    Depuis quelques années, avec la prolifération des entreprises low-cost, l’industrie des transports a sans cesse dû se réinventer dans le but de proposer des tarifs toujours plus attractifs. Et justement, la compagnie aérienne Etihad est en passe de frapper un grand coup en offrant la possibilité à ses passagers de payer leurs vols à crédit !

    La campagne en question se nomme « Fly now, pay later » (comprenez « Volez maintenant, payez plus tard », ndlr). L’ambition affichée est donc claire : permettre à tout le monde de voyager grâce à l’opportunité de rembourser ses billets après avoir profité du voyage. Selon leurs moyens et le prix des billets réservés, les passagers pourront ainsi bénéficier d’une période de remboursement variable, allant de 3 mois à 5 ans. La durée de l’étalement sera évidemment fixée en amont, au moment de la réservation.

    « Nous savons que les voyages sont une dépense importante, en particulier pour les familles et ceux qui ont un petit budget. Au moment de concevoir cette offre, l’objectif était avant tout de permettre aux personnes ayant des revenus moyens voire faibles de pouvoir découvrir le monde. Cette nouvelle initiative est donc un super moyen pour ces gens de profiter d’un voyage sans avoir l’inquiétude de sortir la somme complète en une seule fois » explique Justin Warby, vice-président du département stratégie digitale et innovation au sein d’Etihad.

    En créant une mesure capable de démocratiser le voyage et de le rendre accessible à tous, Etihad espère révolutionner son secteur. Si pour le moment, cette nouvelle formule de paiement est limitée aux voyageurs qui résident aux Émirats arabes unis, en Arabie Saoudite ou en Égypte, il y a fort à parier qu’elle s’étend au monde entier dans les prochains mois. Surtout si le succès est au rendez-vous.

     


  • Vous pensez que le camping est réservé aux humains ? Et bien détrompez-vous ! La preuve avec Azuki, un hérisson qui n’a pas résisté à l’appel de la tente et des repas en plein air.

    Particulièrement célèbre au Japon, où il vit, ce dernier est habituellement mis en scène sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram où son profil compte plus de 200 000 abonnés. Cette fois-ci, le minuscule spécimen ne s’est pas montré emmitouflé dans une couverture bien au chaud, mais plutôt lors d’une expédition en pleine nature.

    Découvrez Azuki, le hérisson japonais pour qui le camping n'a plus de secret

     

     

    Découvrez Azuki, le hérisson japonais pour qui le camping n'a plus de secret

     

    Découvrez Azuki, le hérisson japonais pour qui le camping n'a plus de secret

     

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    Découvrez Azuki, le hérisson japonais pour qui le camping n'a plus de secret


  • Si vous êtes en train d’organiser un voyage en Australie, sachez que l’ascension d’Uluru, la célèbre formation rocheuse du centre du pays, sera interdite à partir du 26 octobre 2019. Une décision prise par le conseil du parc national dans le but de protéger et de respecter la culture aborigène.

     En Australie, les touristes ne pourront bientôt plus monter sur Uluru

     

    Avant d’être l’un des sites naturels les plus connus d’Australie, et de devenir une véritable attraction pour les voyageurs de passage dans le pays, ce rocher rouge de 850 mètres de hauteur est d’abord un mont sacré pour les Anangu. Ces derniers sont les premiers habitants de ce territoire sauvage situé au centre de l’Australie, et ils n’acceptent pas que les touristes venus des quatre coins du monde aient le droit de gravir Uluru.

    Récemment, lors d’une réunion du conseil du parc national d’Uluru, le conseil (composé de huit membres aborigènes et de trois représentants des parcs nationaux, ndlr) a décidé de faire respecter la tradition et les croyances locales. Un choix fort et particulièrement courageux à l’heure où beaucoup sont prêts à tous les excès pour faire augmenter les revenus liés au tourisme. Dans le cas d’Uluru, les coutumes ont donc pris le dessus sur les intérêts économiques pourtant importants.

    « Certains, dans l’industrie du tourisme et au niveau du gouvernement, auraient sans doute défendu l’idée qu’il fallait maintenir le site accessible, mais ce n’est pas leur loi qui s’applique sur cette terre. Il s’agit d’un lieu extrêmement important, pas d’un parc à thème à la Disneyland. Lorsque je voyage dans un pays étranger où se trouve un lieu sacré, à l’accès restreint, je n’entre pas dans ce lieu ni ne l’escalade, je le respecte. La même chose vaut pour les Anangu. Les touristes sont les bienvenus ici. Nous ne nous opposons pas au tourisme, juste à cette activité précise (l’ascension) » a confié Sammy Wilson, président du conseil du parc national, lors d’un entretien accordé à la chaîne National Indigenous Television (NITV).

    Pourquoi le 26 octobre 2019 ?

    Commençons par l’année, pourquoi attendre 2019, et ainsi repousser de deux ans l’entrée en vigueur de cette mesure ? Ce délai va permettre aux sociétés présentes dans la région de s’organiser afin de proposer aux visiteurs d’autres activités. Certes, la plupart des touristes qui se rendent sur place ne tentent pas l’ascension réputée dangereuse (30 morts recensés depuis les années 1950, ndlr), mais il faudra quand même penser à de nouvelles excursions à proposer aux gens.

    Ensuite vient le jour précis, pourquoi le 26 octobre ? Dans la culture aborigène, cette date est marquée d’une pierre blanche. En effet, c’est le 26 octobre 1985 que les territoires d’Uluru et de Kata Tjuta (un massif voisin, ndlr) ont été rendus au peuple aborigène. À l’époque, une seule condition avait été acceptée en contrepartie : que les sites soient gérés pendant 99 ans par le département australien des parcs et des forêts.

     

    En tout cas, il s’agit d’une excellente nouvelle concernant la sauvegarde du patrimoine naturel mondial. Bravo aux autorités australiennes !


  • L’Argentine, une nation dont on entend rarement parler, et qui pourtant, entre ses paysages, sa faune et sa flore sauvage, ses villes colorées et ses traditions, n’ont rien à envier à personne ! En plus d'avoir un beau pays, les Argentins s’avèrent être des gens d'une générosité et d'un sens de l'hospitalité sans faille, de quoi donner une dimension humaine à votre voyage... Attention, vous allez en prendre plein les yeux !

    Le parc national Los Glaciares

     

     

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Le quartier coloré de La Boca à Buenos Aires

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Les vignobles de la région de Mendoza

     

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

     La sublime ville de San Carlos de Bariloche

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Le glacier Perito Moreno

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Le désert de sel des Salinas Grandes

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Les chutes d'Iguazú

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Ushuaïa, la ville la plus au sud du monde

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     

    Le Monte Pisse, haut de 6 793 mètres

    L'Argentine doit être votre prochaine destination

     


  • Après la Révolution. Pour échapper à son affreuse mère et séduire la ravissante Angélique, Victor Renard, jeune homme au physique disgracieux, apprend le métier d'embaumeur aux côtés d'un maître bienveillant. 

    Il découvre le commerce des organes, l'art de momifier le cœur des défunt que les artistes peintres s'arrachent pour en faire des pigments.

    Où l'on découvre que certains tableaux de nos musées nationaux, ont été peints avec le sang des rois de France.

    Un livre que je relirais dans quelques temps, simplement parce qu'il procure un voyage dont on ne ressort pas indemne. Et pourtant, si la confession est odieuse, on y rit énormément...

    ***

     

    (*Moyen    **Bon    ***Très bon    ****Excellent)

     


  • Les voyageurs de passage par Abu Dhabi pourront dorénavant y visiter le Louvre ! Depuis 10 ans, le projet était en prévision mais de nombreux imprévus au niveau de l’économie globale n’ont pas permis d’ouvrir ce musée satellite plus tôt.

    Émirats arabes unis : le « Louvre Abu Dhabi »

     

    Initialement prévu pour être inauguré en 2012, puis en 2016, c’est finalement en novembre 2017 que ce nouveau lieu, localisé sur l’île de Saadiyat, a ouvert ses portes. L’accord entre le gouvernement français et celui des Émirats arabes unis signé en 2007 aura donc été respecté et concrétisé par la création du « Louvre Abu Dhabi ».

    Dans ses 23 galeries, le musée permet au public de venir admirer plus de 600 œuvres du monde entier, à travers des expositions aussi bien temporaires que permanentes. Grâce à l’accord passé avec la maison mère, le Louvre de Paris, l’établissement pourra bénéficier d’un partenariat privilégié en ce qui concerne le partage des tableaux, des statues, et des œuvres en général. Ainsi, les pièces non exposées à Paris pourront être envoyées à l’annexe d’Abu Dhabi. Comme en France, les principaux objets présentés seront issus des civilisations d'Asie centrale, d'Égypte et d'Europe.

    Imaginé par le célèbre architecte français Jean Nouvel (qui a notamment remporté le prestigieux prix Pritzker en 2008 pour son travail sur l’Institut du Monde Arabe de Paris), le bâtiment, fait de béton et d’acier, est un mélange de modernisme et minimalisme. Et ce nouveau Louvre n’est pas le seul lieu à sortir de terre dans la zone de Saadiyat. En effet, les autorités locales souhaitent profiter de tout l’espace de l’île (2 700 hectares) pour créer l’une des plus grandes concentrations culturelles au monde.

    Émirats arabes unis : le « Louvre Abu Dhabi »

     

    On peut par exemple y trouver une annexe du Guggenheim, le musée d’art contemporain de Bilbao, conçu par Frank Gehry, une immense salle de spectacle dédiée aux performances artistiques, mais également un musée maritime designé par Tadao Ando, ou encore un musée retraçant l’Histoire des Émirats arabes unis et de leur fondateur, le cheikh Zayed ben Sultan Al Nahyane (dessiné par Norman Foster, ndlr).

    Vous l’aurez compris, l’idée des dirigeants du pays et de faire de l’île de Saadiyat une véritable référence culturelle. De quoi convaincre les voyageurs de s’arrêter et de visiter Abu Dhabi, plutôt que d’y faire seulement des escales.


  • Le kouign-amann aurait été inventé vers 1 860 par Yves-René Scordia, un boulanger de Douarnenez. Très connu pour son goût particulièrement beurré, il n’est pas trop difficile à réaliser, même s’il exige une certaine technique. En effet, la préparation de ce gâteau consiste à réaliser une pâte à pain qu’il faudra ensuite beurrer et sucrer, puis à plier pour feuilleter la pâte. Découvrez donc comment réaliser un authentique kouign-amann !

    Pour réaliser cette recette, suivez les étapes ci-dessous:

    Kouign-amann

    Ingrédients :

    - 250 g de farine

    - 250 g de beurre

    - 200 g de sucre en poudre

    - 10 g de levure de boulanger fraîche

    - 10 cl d’eau tiède

    - 1 cuillère à café de sel

    Préparation :

    1. Préparez la pâte à pain de base en mélangeant l’eau et la levure dans un verre. Mélangez ensuite dans un plat (ou à la main), la farine et le sel.

    2. Ajoutez l’eau avec la levure et pétrissez jusqu’à obtenir une pâte homogène.

    3. Laissez reposer la pâte obtenue dans un plat couvert pendant au moins 3 heures.

    4. Dégazez la pâte et étalez-la sur un plan de travail fariné. Donnez-lui une forme rectangulaire.

    5. Avec un pinceau, étalez le beurre bien mou sur la pâte et saupoudrez de sucre en laissant une bordure autour de la pâte de quelques centimètres.

    6. Repliez la pâte en 3 dans la longueur puis reproduisez l’opération dans la largeur.

    7. Étalez à nouveau la pâte avec un rouleau à pâtisserie en prenant soin de ne pas l’écraser et de bien garder l beurre à l’intérieur.

    8. Reproduisez le pliage de la pâte avant de l’étaler une dernière dans le but de lui donner la forme de votre moule.

    9. Beurrez bien votre moule et déposez la pâte. Laissez reposer une demi-heure afin que la pâte monte un peu.

    10. Préchauffez le four à 210 °C. Réalisez un quadrillage avec un couteau sur la surface de la pâte et ajoutez quelques petits morceaux de beurre.

    11. Cuisez votre kouign-amann environ 35 minutes et laissez refroidir 10 minutes avant de démouler.

    Bon appétit !


  •  

    Cette vidéo illustre le travail d’un jeune réalisateur en animation s’appelant Joshua Slice. Il vous présente Lucas (du nom du neveu du réalisateur qui prête sa voix au personnage), une petite araignée avec deux yeux énormes et attendrissants (en plus des six autres plus petits), ses petites pattes velues, qui a beaucoup d'affection envers les humains. Cependant, ses parents l’ont prévenu que les humains ne l’aimeraient pas forcément en retour. Attention à toi, petite araignée !


  • Chaque année, au moins 6,5 milliards kg de plastique sont déversés dans les océans. Un chiffre qui peut grimper pour atteindre les 8 millions de tonnes de déchets par an. Cela représente 206 kg de plastique par seconde, qui flottent sans fin, emportés par les courants, et finissent par se désintégrer en microparticules qui sont ensuite ingérées par la faune marine.

    On a tous en tête cette image du fameux « septième continent de plastique ». En réalité, il en existe plusieurs, au sein de chacun des cinq océans de la planète (Atlantique Nord, Atlantique Sud, Pacifique Nord, Pacifique Sud et océan Indien). Ils se trouvent dans ce qu'on appelle les gyres océaniques, ces gigantesques courants en forme de spirale situés au cœur des océans et provoqués par la force de coriolis.

    Mais pour la première fois, une mission scientifique dans l'Arctique a découvert la présence de plastique au milieu même de l'océan glacial. Il y a de cela seulement quelques années, il était impossible de s'approcher en bateau à plus de 1 600 kilomètres du Pôle Nord : tout était couvert de glace. Mais aujourd'hui, une partie de la calotte polaire a fondu, laissant libre l'accès à la mer jusqu'à l'océan Arctique central. Jamais une expédition scientifique n'avait pu naviguer aussi loin sans s'équiper d'un brise-glace.

    L'équipe internationale de chercheurs a découvert des morceaux de polystyrène de taille conséquente, échoués sur des zones de glace éloignées, au beau milieu de l'océan Arctique. Cette triste découverte a été faite à quelque 800 milles marins du Pôle Nord géographique.

    La pureté contaminée

    Tim Gordon, biologiste marin en charge de l'expédition polaire, rapporte qu'en vingt-cinq ans d'explorations en Arctique, il n'a jamais vu cela. C'est la première fois qu'il découvre des morceaux si gros de plastique à cet endroit si éloigné du reste du monde.

    « Découvrir de tels morceaux de déchets plastiques dans un tel endroit est un signal inquiétant. Cela montre que la fonte des glaces pourrait permettre que de hauts niveaux de contamination soient apportés par les courants » estime-t-il.

    Une menace qui, selon lui, pourrait être « potentiellement très dangereuse » pour la faune qui peuple l'Arctique.

    À l'été 2050, les scientifiques craignent que l'intégralité de l'océan Arctique se retrouve complètement dénuée de glace. Ils pronostiquent en tout cas la fonte totale de la calotte polaire, si l'évolution des courbes de densité glaciaire poursuit son cours actuel.

    Avec la fonte des glaces, le plastique dérivant aura un nouveau chemin d'accès et contaminera de plus en plus l'océan Arctique, cet endroit si fragile - et encore récemment intouché - de la planète.