Cette petite a tout d'une grand... Variété précoce, la Gariguette est une des fraises la plus vendue sur notre sol. Souvent citée en exemple comme un fruit qui a du goût, elle son succès à une femme : Georgette Risser, qui a dirigé pendant des années des travaux de recherches au centre INRA d'Avignon pour créer cette nouvelle variété à la fin des années 1970 qui fut d'abord cultivée dans le Lot et Garonne. Elle devrait son nom à l'adresse d'un des chercheurs : le chemin des Gariguettes à Chateauneuf de Gadagne. En ce moment il y en a, elles sont excellentes alors profitez-en.

Nouvelle rubrique dans mon blog, des souvenirs quand j'étais gamin, j'ai trouvé le générique d'un dessin animé : Candy. Je me souviens quand je rentrais de l'école, j'allais très vite pour ne pas rater un épisode, j'étais un fan inconditionnel. 

Voici le générique :"au pays de Candy, comme dans tous les pays..." 

Il ne s'agit pas à proprement parler d'une chute, mais d'un ensemble de 275 cascades formant un front de 3,0 kilomètres environ. La plus haute d'entre elles atteint les 90 m de hauteur. On l'appelle la Garganta del Diabloen espagnol ou Garganta do Diabo en portugais (« gorge du Diable »). L'ensemble des cascades déverse jusqu'à six millions de litres d'eau par seconde.

Ces chutes interrompent le cours de la rivière Iguaçu, affluent du Paraná, entre l'État brésilien du Paraná et la province argentine de Misiones. Elles comptent parmi les plus impressionnantes au monde, dans une géographie en favorisant la création. La cascade des Sept Chutes voisine était sans doute aussi phénoménale mais a disparu en 1982 suite à la mise en eau du réservoir du barrage d'Itaipu.

Le dimanche de Pâques j'étais invité par Liliane et Pierre. Comme elle regarde à chaque fois mon blog, elle avait bien repérée mes commentaires sur le Restaurant La Noë, donc nous y sommes allés.

En entrée j'ai pris des makis, je me suis régalé, mais parcontre après avoir fini mon assiette, je n'avais presque plus d'appétit ! voyez l'assiette :

Ensuite j'ai pris un wok de volailles avec pleins de petits légumes croquants, comme des asperges, carottes et poivrons et des nouilles chinoises :

Et pour finir juste deux boules de glace, j'ai pris comme parfum caramel :

Nous avons très bien déjeuné et j'y retournerai, à vrai dire j'y suis déjà retourné, mais vous verez tout ça très bientôt !!!

Merci Liliane et Pierre pour l'invitation, gros bisous.

Une épopée passionnante dans l'Angleterre du XIIème siècle. Tout y est : aventure, complots, passion, drames et surtout un voyage artistique fabuleux avec, des compagnons de route, 2 générations de bâtisseurs de cathédrales, tous plus attachant les uns que les autres.

Vous ne pouvez pas passer à côté de ce livre culte. Alors bonne lecture !

Il y a quelques jours j'ai fait un Titamisu aux framboises, j'en ai profité pour en faire un petit reportage photographique, pour vous montrez que c'est très facile à faire, rapide, et en plus c'est délicieux.

Pour la recette il vous faudra 2 oeufs, un pôt de 250gr de mascarpone, des boudoirs, pour cette recette je prends des biscuits roses de Reins, 70gr de sucre, des framboises, et oui j'ai pris en surgelé, et un sirop de cranberry, mais vous pouvez prendre de la grenadine ou une crème de cassis, enfin vous faîtes comme bon vous semble !!

Séparer les blancs des jaunes, ajouter le sucre aux jaunes, ajouter les 250gr de Mascarpone au mélange sucre et jaunes d'oeuf, bien mélanger.

Je prépare dans une assiette creuse du sirop et j'y ajoute un peu d'eau. Dans une coupe je mets un peu de crème, j'ajoute un biscuit trempé, je remets un peu de crème, j'ajoute les framboises surgelées, et je finis par de la crème.

Et voilà, il n'y a plus qu'à mettre tout cela au réfrigérateur et après quelques heures la dégustation pourra commencer.

Bon appétit !!!

Après la coulée, entre deux et quinze jours à l'air libre suffisent pour que le métal retrouve sa solidité naturelle. La cloche apparaît à l'état brut, dans une gangue d'argile grillée, que l'on brise à l'aide d'une massette. On retire les reliquats d'argile avec une petite brosse et frotte l'airain pour laisser apparaître les sculptures. Puis les fondeurs utilisent du sable pour lisser la surface et enlever les dernières imperfections. La cloche est alors polie à la meule électrique afin d'être accordée à la tonalité requise. Enfin les phrases gravées sont dorées à la feuille d'or, appliquée à la main.

Techniquement les cloches sont prêtes à l'emploi. Reste pourtant une étape cruciale : leur baptême. Car depuis le 12ème siècle, la traditon les considère comme des personnes. Elles reçoivent le prénom d'un saint patron au cours d'une cérémonie de bénédiction. Dans le passé, certaines étaient même habillées d'une robe balnche !! Des prénoms qui ont une signification : Geneviève, Denis et Marcel sont les saints patrons de Paris. Etienne a été choisi en mémoire du premier martyr chrétien, Maurice pour Maurice Sully, l'évêque de paris a qui on doit la construction de la cathédrale. Jean-Maris fait référence à l'ancien évèque de Paris décédé en 2007, le  cardinal Lustiger. Quant à Benoît Joseph c'est un hommage à l'ancien pape Benoît XVI. Enfin le bourdon a reçu le nom de la vierge Marie, et la dernière cloche celui l'archange Gabriel.

"La vieille église, toute vibrante et toute sonore, était dans une perpétuelle joie de cloches" écrivait Victor Hugo dans son roman Notre Dame de Paris. Grâce à ce nouveau carillon, c'est de nouveau le cas.

Première étape, chaque cloche est modélisée sur ordinateur. La précision des volumes est en effet cruciale , la tonalité d'une cloche dépend de sa forme, de sa taille, de son diamètre et de son épaisseur. Plus elle est grosse, plus elle sonne grave. Plus elle est épaisse, plus elle résonne. Pour retrouver les gammes d'origine, Régis Singer, un carillonneur, a épluché les archives de l'art campanaire. Il a ainsi découvert que le carillon était autrefois composé de huit cloches et de deux bourdons, composant une harmonie de dix notes.

Une fois les cloches dessinnées, les moules sont fabriqués à base d'argile (pour la solidité), de crottin de cheval (pour garder une certaine porosité permettant au gaz de s'échapper) et de poils de chèvre (pour résister à la pression du métal). Façonnée à la main, puis séchée, leur face interne est ensuite recouverte de cire.

C'est alors au tour de Virginie Bassetti, une sculptrice sur cloche d'intervenir. Avec une spatule métallique, un scalpel et ses doigts, modèle, dans la cire d'abeille mêlée à de la parafine, les différents décors qui viendront, en relief, orner ces mastodontes de bronze. Rien que la plus grosse cloche, cet exercice lui a demandé 270 heures de travail. Sur chaque modèle, elle a choisi de faire apparaître une phrase de l'Angélus (une prière récitée trois fois par jour), suivi d'une maxime de Saint Augustin. Sur le petit bourdon elle a gravé le texte de la prière du "je vous salue Marie".

Commence alors, l'exercice périlleux de la fonte du métal, puis de sa coulée. Les cloches sont constituées d'airain, un mélange de 78 % de cuivre et de 22 % d'étain. De grosses briques de cuivre sont introduites dans le four. Pour la grosse cloche 1,83 m pour 4160 kg, celui-ci a chauffé pendant 8 heures, avec 1 tonne de charbon et 7m3 de bois. Le métal doit atteindre une température de fusion idéale, située autour des 1100°C afin que la cloche soit compacte. Comme le cuivre entre en fusion à 1083°C et l'étain à 232°C, celui-ci est rajouté au dernier moment. le métal en fusion est d'abord béni par l'église dans l'atelier. Ensuite tout va très vite. Un trou est pratiqué dans le four, à la hauteur des canaux creusés dans le sol. En moins de deux minutes, l'airain en fusion s'écoue à la vitesse de l'eau.

Le 23 mars dernier, les cloches de Notre Dame ont longuement résonné dans le ciel de Paris. Après un an de silence, le tout nouveau carillon de la cathédrale parisienne était inauguré. Huit nouvelles cloches dans la tour nord, et un nouveau bourdon (une grosse cloche au son grave) venu en renfort du vieux bourdon dans la tour sud.

Fin janvier, les neuf cloches flambant neuves sont arrivées à Paris. Fin février, on les a hissées à 69 mètres de hauteur, au somment des deux tours, en les faisant passer par l'intermédiaire d'un treuil électrique. C'est un évènement historique, Personne de son vivant ne reverra la construction de cloches de Notre Dame.

Notre Dame possédait au 18ème siècle, un ensemble de huit cloches et deux bourdons qu'on entendait de très loin. Mais à la Révolution, on les a fondus pour en faire des canons. Il faut attendre 1856 pour que quatre nouvelles cloches soient réinstallées. Mlheureusement, fabriquées dans un matériau de mauvaise qualité, elles sonnaient faux.

Pour fêter dignement les 850 ans de la cathédrale (bâtie à partir de 1163), le diocèse de Paris a donc décidé de redonner à l'illustre vieille dame un carillon digne de ce nom. Une opération coûteuse, deux milions d'euros, entièrement financée par les dons des fidèles.

La fonderie Cornille Havard, située à Villedieu Les Poêles dans la Manche, a réalisé l'esssentiel de l'ouvrage. C'est l'un des trois dernières entreprises françaises à maîtriser encore l'art campanaire (l'art de faire les cloches), qui remonte au Moyen Age. Seul le bourdon, en raison de sa taille très importante, a été commandé à une société hollandaises, aux techniques plus industrielles. Il a fallu un an pour mener à bien ce chantier.

Un saut à l'élastique, j'en rêvais, et j'ai eu l'occasion d'en faire un il y a quelques années. Nous sommes allés en Normandie sur le viaduc de Souleuvre. Un souvenir mémorable, je n'en menais pas large !!! Et dire que j'ai le vertige !!! Quand j'ai fini ce saut, j'aurais bien voulu en refaire un, mais malheureusement je suis passé le dernier, la nuit tombait, mais promis, juré, j'en refairai un, qui m'aime me suive !!!