• L'expression "faire un bide" ?

    Avant le 19ème siècle, le mot "bidon" désigne un récipient contenant le plus souvent des liquides. L'analogie entre cet objet et un estomac rempli est vite faite : le bidon (ou le bide) en vient à désigner familièrement un ventre bien rebondi. En argot, au 19ème siècle, l'expression "ramasser un bidon" signifier d'abord "s'enfuir" ou détaler ventre à terre. "Faire un bide", n'apparaît que plus tard, au cours du 20ème siècle, dans le milieu du théâtre. La locution décrit une scène cauchemardesque pour un comédien : celui-ci se prendrait les pieds dans le décor, tomberait et quitterait la scène en rampant... sur le bide. Aujourd'hui, ces mots désignent toujours un échec, un effet raté.


  • Vous vous souvenez ? Avant le mercredi, c'était le jeudi.

    A la rentrée 2013 voir 2014, le ministre de l'éducation Vincent Peillon veut revenir à la semaine de quatre jours et demi dans les écoles. Les enfants retoureneraient donc sur les bancs le mercredi, qui est le jour des enfants depuis tout juste quarante ans. En 1972, sur décision de président Pompidou, le mercredi avait remplacé le jeudi. A l'époque déjà, il s'agissait de rééquilibrer la semaine de travail après la suppression de la classe le samedi après-midi.


  •  Il y a quelques jours il faisait un soleil magnifique, de la douceur et en plus cela tombait un dimanche, on ne pouvait pas rêver mieux. Nous en avons profité pour faire du jardin, on a même ressortis les chaises longues j'ai pris quelques clichés de fleurs du jardin et il y avait même l'abricotier en fleurs, pourvu qu'il supporte le très grand froid de ces derniers jours, on verra...

    C'est le printemps ?

    C'est le printemps ?

    C'est le printemps ?

    C'est le printemps ?

    C'est le printemps ?

     Gigy a insité pour que je la prenne en photo, alors voilà c'est fait !!!!!    

     

     

     


  • Hourra ! un nouveau paquebot pour Saint Nazaire, il s'appellera Oasis. Ce sera le 122ème. Le premier y a été construit il y a 150 ans, il s'appelait Impératrice Eugénie.

    On les compare ?

    Taille : avec ses 316 m de long, soit 3 terrains de foot et demi, Oasis sera le plus grand paquebot du monde. Impératrice Eugénie ne faisait que 108 m de long.

    Technique : en 2012, une compagnie américaine (Royal Carribean), fait appel au savoir faire français. Dans les années 1850, c'était l'inverse : un industriel écossais, John Scott, a apporté son expertise.

    Bénef : Le projet 2013 rapporte 1 milliard d'euros; En 1867, peu après la sortie du premier paquebot, les chantiers ont fermé pendant 3 ans, faute de commandes.

    Jobs : 6000 personnes travailleront sur Oasis. 3 fois plus qu'en 1865. A l'époque, les employés du chantier représentaient environ 20% de la population de la ville, contre 3% aujourd'hui.

    Ambiance : le gigantesque paquebot Oasis est detiné aux croisères de luxe, Impératrice Eugénie naviguait sur des lignes régulières trasatlantiques, jusqu'à New York ou Vera Cruz.

    Vitesse : Théoriquement, Oasis peut traverser l'Atlantique en une dizaine de jours, il est 2 fois plus rapide que son ancêtre.

    Impératrice Eugénie :

     

     

    Oasis :

     

    Un navire de type "Oasis of the Sea" de la compagnie américaine Royal Caribbean International. 

     


  • Il y a quelques jours, j'ai fait des croques monsieurs, mais attention la façon que j'ai appris, il y a bien longtemps... quand j'étais jeune... et quand je travaillais, à l'époque, dans une brasserie.

    Alors il vous faudra, du pain de mie, de l'emmental râpé, un oeuf, de la crème fraîche, du sel et du poivre et pis c'est tout !!!!!

    Recette.

     

    Dans un bol battez un oeuf entier, ajoutez 4 cuillères à café de crème, du sel, du poivre et environ 100g d'emmental râpé. Bien mélanger.

    Tartinez 4 tranches de pain de mie

    Recette.

     

    Ajoutez une demie tranche de jambon ou une tranche selon votre appétit.

    Recette.

     

    Mettez une autre tranche de pain de mie et remettez de la préparation dessus, les proportions sont pour en faire 4.

    Recette.

     

    Passez les croques dans un four bien chaud 200°C jusqu'à ce que les croques soient bien dorés.

    Recette.

     

    Avec cette préparation, les croques sont bien moelleux, accompagnez les avec une belle salade. 

    Et voilà le tour est joué, je vous souhaite un excellent appétit.


  •  

     

    Elles sont belles ces photos, cela me rappelle de très bons souvenirs. De temps en temps, je vous ferai partager des souvenirs de vacances, des lieux insolites que j'ai découvert, des rencontres. Pour aujourd'hui, on commence par le sud de l'Argentine, en Patagonie, le glacier Perito Moreno.

    Il a été baptisé du nom de l'explorateur Francisco Moreno, Perito signifiant : expert. Il a étudié cette région au 19ème siècle et joua un rôle majeur dans la défense du territoire argentin dans les discussions pour la délimitation de la frontière du Chili.

    Le glacier est l'un des trois glaciers de Patagonie qui n'est pas en régression. Le front du glacier fait 5 Km de longueur, la hauteur de glace est de 170 mètres, dont 74 mètres sont émergés. Il avance d'environ de deux mètres par jour, cela fait 700 mètres par an.

    A la différence d'autres glaciers caractérisés par les effondrements de pans de glace, le Perito Moreno détache d'immenses blocs de glace. A n'importe quelle époque de l'année, se produisent des effondrement constants de ses murs de glaces. Le front du glacier avance face à la péninsule Magelan. Quand il atteint la rive opposée, il divise le lac en deux créant des digues naturelles. Les eaux du bras Rico du Lac Argentino montent alors jusqu'à 3O mètres et commencent à éroder le glacier qui devient moins résistant et cède sous la pression. Cet effondrement spectaculaire du front du glacier a lieu périodiquement, mais la fréquence de ce cycle est irrégulière et peut prendre d'un an à une décennie.

    Le glacier est l'un des sites touristiques majeurs du sud de la Patagonie. Il se trouve à moins de deux heures d'autocar d'El Calafate. Sur le site se trouve un circuit de promenade qui permet de voir le glacier dans son ensemble. Les treks sur la glace, une options mini trekking, consistant en une marche d'environ une heure et demie, et une version big ice qui dure environ cinq heures, les compagniers fournissent les crampons !!! Un bateau nous fait découvrir les bords du glacier, mais attention aux chutes de glace, cela fait littéralement un raz de marée.

     


  • Pour la mémoire de Papy.

    Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?...

    Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ?

    Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté.

    Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes.

    Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu.

    En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ».

    Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur…

    Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ?

    Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents…

    A Papy, et à toutes les personnes qui nous manquent.

     


  • Miséricorde

    Pourquoi Merete Lyyngaard croupit-elle dans une cage depuis des années ? Pour quelle raison ses bourreaux s'acharnent-ils sur la jeune femme ?
    Cinq ans auparavant, la soudaine disparition de celle qui incarnait l'avenir politique du Danemark avait fait couler beaucoup d'encre. Mais, faute d'indices, la police avait classé l'affaire. Jusqu'à l'intervention des improbables Carl Mørck et Hafez el Assad du Département V, un flic sur la touche et son assistant d'origine syrienne. Pour eux, pas de cold case...

    Couronné par les prix scandinaves les plus prestigieux, de La Clé de Verre aux Golden Laurels des libraires, le thriller de Jussi Adler-Olsen, première enquête de l'inspecteur Mørck, est un véritable phénomène d'édition mondial. J'ai adoré.


  • Je suis très en colère. Mon examen c'est très mal passé. Pendant 2 heures le radiologue a tenté de m'injecter du produit de contraste dans la vessie, sans y parvenir. La sonde a bien été mise en place, le ballon sonde a bien fonctionné, par contre tout le reste ZERO pointé. Il n'y avait pas de raccord entre la sonde et le goutte à goutte. Il y a une multitude d'essais en m'injectant le produit, mais cela fuyait, ce n'était pas hermétique. Ensuite ils ont décidé de m'injecter le produit avec une seringue moyenne, puis une grosse seringue, je n'y connais pas grand chose mais quand ce n'est pas hermétique, il y a des fuites. Et c'est ce qu'il c'est encore produit. Après 2 heures de tentatives infructueuses le radiologue a décidé d'arrêter car il avait peur que l'urêtre "éclate". 

    Pour conclure deux très longues heures, avec un résultat nul. Je vais aller voir le 13 mars mon chirurgien, qui me fera ma fibro de contrôle, par contre il me fera une autre ordonnance pour refaire une systo et là je ne retournerai surement pas à Pornic, j'irai directement à l'hôpital de Saint Nazaire.

    Un conseil, si vous devez aller à Pornic faire des examens qui nécessitent du matériel, pensez à venir avec, sinon il y aura des fuites :))))))

    A demain si vous voulez bien.


  • Restaurant suite et fin

     

    Et pour finir le dessert, nous n'avons pas pris la même chose. JP a pris un craquelin d'ananas et son sorbet et crème légère.

    Restaurant suite et fin

    Quant à moi j'ai pris un streuzeul cacao, mousse ivoire et macaron praliné, crème anglaise et sorbet cacao. Un dessert pas trop sucré et surtout j'ai adoré le sorbet cacao, ne pas confondre avec une glace chocolat. Le sorbet est fait avec de l'eau et la glace avec du lait ou de la crème.

    Le repas était délicieux, pour un menu au prix de 29€. Je crois qu'on ne pourra pas trouver mieux !!!

     

     

     






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires